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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 12:36

On a demandé qu'on dépose tous "les armes" pour préserver l'unité du parti mais apparemment certains des nôtres n'aiment que la polémique. Malgré tous les efforts, ils continuent toujours de camper sur leur position en ramenant tout à leur vision de la gestion du FPI. Peut-être que leur but réel n'a pas été atteint. Qu'ils attendent alors une prochaine occasion parce que s'il s'agit seulement de l’interprétation des textes dont le SG Akoun s'est fait le porte parole des détracteurs du PR AFFI, Dieu merci on n'en parlera plus dans quelques jours. Si vous avez voulu profiter de ce Affi (30)malentendu pour réaliser vos rêves, reconnaissez que vous avez alors échoué et apprêtez-vous à affronter le PR AFFI au prochain congrès puisque nous savons tous qu'aucun coup de force ne saurait prospérer au FPI. En attendant, mettons-nous ensemble pour combattre dramane, c'est le but de notre présence ici sur la toile depuis le 11 avril 2011. Certains d'entre nous n'ont fait aucun post depuis 3 mois pour dénoncer les dérives totalitaire de dramane, toujours AFFI, AFFI, AFFI, la direction , la direction, comme s'il n'y avait que ça. Attendez sagement le prochain congrès pour vous présenter à la présidence du FPI afin que les militants se prononcent clairement en votre faveur ou défaveur. Pour le moment, laissez les cyber-activistes pro-Gbagbo que nous sommes faire notre boulot .

une pensée spéciale au camarade Thierry Ibo détenu illégalement depuis le 16/08/2011 à la MACA.

NO GBAGBO, NO SIMONE GBAGBO, NO BLE GOUDE, NO PEACE !

Hervé diomandé

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5 juillet 2014 6 05 /07 /juillet /2014 13:49

1. Président :
• Pascal AFFI N’GUESSAN

 2. 1er Vice- président chargé de la Stratégie et de la Politique Générale du Parti :
• SANGARÉ Abou Drahamane
3. 2ème Vice-présidente :
• Mme EHIVET GBAGBO Simone
4. 3ème Vice-président chargé de la Politique Économique et Financière :
• MIAKA Ouretto
5. 4ème Vice-président chargé de l’Implantation, de l’Encadrement des
Fédérations et des Elections :
• ABOUO N’Dori Raymond
6. 5ème : Vice-président chargé de la Vie du Parti
• AKOUN Laurent
7. 6ème Vice-président chargé des Relations Extérieures
• KODJO Richard
8. 7ème Vice-président chargé du Dialogue politique, de la Réconciliation nationale et du programme de sortie de crise :
• DANO DJEDJE Sébastien
9. 8ème Vice-président chargé des questions de Défense et de Sécurité :
• AMANI N’GUESSAN Michel

10. 9ème Vice-président chargé des Grands Projets :
• DOUATI Alphonse
11. 10ème Vice-présidente chargée des Femmes, des Organisations Féminines et de la Mobilisation :
• LOROUGNON Marie-Odette
12. 11ème Vice-président chargé des Recherches et de la Veille Stratégique :
• LIDA KOUASSI Moïse
13. 12ème Vice-présidente chargée du Suivi de la Politique Institutionnelle :
• Mme KONAN Christine
14. 13ème Vice-Président chargé des Affaires Générales :
• GOSSIO Marcel
15. 14ème Vice-Président chargé du Suivi de la Politique Sociale et Culturelle :
• DEDY Séri Faustin
16. 15ème Vice-présidente chargée de la Politique de Santé Publique et de Lutte contre le SIDA
• Mme ADJOBI Negbou Christine
17. Secrétaire Générale, Porte-parole du parti:
• Mme Agnès MONNET
18. 1er S.G.A chargé de la Culture et de la Communication :
• VOHO Sahi Alphonse
19. 2ème S.G.A chargé des Fédérations de L’INDENIE-DJUABLIN :
• ETTIEN Amoakon Henri
20. 3ème S.G.A chargé des Relations avec les Syndicats et les Organisations de Masse :
• GNAOULE Oupoh
21. 4ème S.G.A chargé des Recherches, de la Documentation politique et de la Veille Stratégique :
• KREKRE Firmin
22. 5ème S.G.A chargée des Relations avec les Partis politiques :
• Mme DEDI Adèle
23. 6ème S.G.A chargé de l’Organisation des Manifestations du Parti :
• KOULIBALY Seydou
24. S.N chargé des Actions pour la Libération de Laurent Gbagbo :
• (à pourvoir)

25. S.N chargée des Relations avec les Institutions :
• Mme AMON AGO Marthe
26. S.N chargé de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique :
• KATA KEKE Joseph
27. S.N chargée de la Politique des Infrastructures Économiques :
• Mme BOUABRÉ Yvonne
28. S.N chargée de la Politique de la Famille, de la Femme et de l’Enfant :
• Mme BAMBA Massany
29. S.N chargé de la Doctrine et de la Formation Politique :
• KOUASSI K. André
30. S.N chargé de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation :
• GNÉPA Barthélémy
31. S.N chargé de l’Economie et des Finances :
• DIEGBA KOTRO Blaise
32. S.N chargé des Relations Diplomatiques et de la Coopération Internationale :
• Alcide DJEDJE
33. S.N chargé de la Promotion des Cadres du Parti et des Affaires Générales :
• KOFFI Aka Antoine
34. S.N chargée des Finances et du Patrimoine du Parti:
• Mme Simone N’GUESSAN
35. S.N chargé des Fédérations de la Région de la MARAHOUE :
• KOLOU BI Youan
36. S.N chargé des Fédérations du HAUT SASSANDRA 2
• YUE BI SEHI
37. S.N chargé des Fédérations du ZANZAN :
• N’GUETTIA YAO Kouman
38. S.N chargé du Commerce
• SOKOURI Bohui Martin
39. S.N chargée de la Diaspora et des Représentations du FPI à l’Extérieur :
• Mme Brigitte KUYO
40. S.N chargé de la Solidarité, des Affaires Sociales et Administratives :
• KOUAKOU Krah
41. S.N chargé du Dialogue politique et de la Réconciliation nationale :
• KOFFI Dadier Pierre

42. S.N chargé des Grands Projets Urbains :
• DONGO Assanvo
43. S.N chargé des Fédérations du WORODOUGOU et du BAFING :
• KANE Ladji
44. S.N chargée de l’Administration Publique et de la Bonne Gouvernance :
• Mme APPIA Sophie
45. S.N chargé des Fédérations de la Région du GÔH :
• OREGA YOUKPO Barthélémy
46. S.N chargé des Fédérations du HAUT SASSANDRA 1 :
• DALEBA ZOZORO Jules
47. S.N chargé des Fédérations de la Région du CAVALLY :
• GNAHET Jacques
48. S.N. chargé de la Production, de l’Edition et de la Documentation :
• BAMBA Franck Mamadou
49. S.N chargé de la Communication et du Marketing politique
• Franck Anderson KOUASSI
50. S.N chargé des Fédérations de la Région de L’AGNEBY-TIASSA :
• GBEROUKOU N’CHO Bénoît
51. S.N chargée de la Protection Sociale, de la Solidarité nationale et de la Cohésion Sociale :
• Mme ANIDIE OHOU Laure Yvette
52. S.N chargé du Climat, de l’Environnement et des Eaux et Forêts
• KOUADIO Comoé Augustin
53. S.N chargée des Elections :
• Mme ASSOUMA Juliette
54. S.N chargé de l’Urbanisme, de l’Hydraulique et de l’Assainissement :
• TIHI KPAO Victor
55. S.N chargé de l’Industrie, des Mines et des Hydrocarbures :
• AGNERO Paul-Wood
56. S.N chargé de la Politique de la Ville et du cadre de Vie :
• DJEDJI Amondji Pierre
57. S.N chargé de la Politique de la Jeunesse :
• KOUA Justin
58. S.N chargé de la Politique des Sports et Loisirs :
• YAO Yao Jules
59. S.N chargé des Fédérations du District de Yamoussoukro :
• TIACOH Thomas
60. S.N chargé des Affaires Africaines :
• KONE Boubacar
61. S.N chargé des Elections :
• TAPE Kipré
62. S.N chargé des Fédérations de la Région du GUEMON 1 :
• ZEREHOUE Edouard
63. S.N chargé des Recherches et de la Documentation Politique :
• DIABATE Bêh
64. S.N chargée de l’Agriculture
• Mme SOLOU Henriette
65. S.N chargé des Affaires Internationales :
• BLE KESSE Adolphe
66. S.N chargé des Fédérations de la Région de LOH-DJIBOUA :
• ADJA Jules
67. S.N. chargé de la Pêche et de l’Elevage :
• ATSE Pascal
68. S.N chargé de la Politique du Logement et de la Modernisation Urbaine :
• LIBI Koita Vincent
69. S.N chargé des Fédérations de la Région de SAN PEDRO :
• WAYOU Claude
70. S.N chargé des Fédérations de la Région du SUD-COMOE 1 :
• NGUETTA NGUETTA Joseph
71. S.N chargé de l’Innovation Technologique, de la Normalisation et du Management de la Qualité:
• KOKO KONAN Armand
72. S.N chargé de la Monnaie et de la politique d’Intégration Economique Régionale (UEMOA-CEDEAO) :
• TCHEIDE Jean Gervais
73. S.N chargé des Fédérations de la Région du TCHOLOGO :
• KOULIBALY Yiriba
74. S.N chargé des TIC et des Applications Numériques :
• KAMAGATE Soulé

75. S.N chargé de l’Enseignement Technique :
• BIH Emile
76. S.N chargé des Fédérations des 2 A :
• MOBIO AKICHI Joseph
77. S.N chargé de la politique de la Réforme Foncière :
• DUA Kobenan Camille
78. S.N. chargé de la Protection Civile
• DAKOURI Djalega
79. S.N chargé de la politique des Banques, Assurances et Micro-finances :
• LIBI Guillaume
80. S.N. chargé des Fédérations de la Région du LOH-DJIBOUA 2
• DAGO Koudou Grégoire
81. S.N chargé de la Politique de Formation Professionnelle et d’Insertion des Jeunes :
• KESSIE Mathias
82. S.N chargé des Fédérations de la Région de l’IFOU :
• ADER Ya Kouadio Etienne
83. S.N chargé de la Mondialisation et des politiques d’Intégration :
• GNAGNE Yadou
84. S.N chargé des fédérations de la Région du GÔH 2
• BILI Gballou Joachim
85. S.N chargé des Ex-combattants et de la Réforme du Secteur de Sécurité
• GNATO Zié
86. S.N chargé de l’Emploi, des Revenus et du Pouvoir d’Achat :
• YAO Bi Iridié Alfred
87. S.N chargé de la Justice, des Libertés Publiques et des Droits de l’Homme :
• Mme Géraldine ODEHOURI
88. S.N chargé des Fédérations de la BAGOUE :
• KONATE Navigué
89. S.N chargé de l’Animation Socio-culturelle et des Activités Extra-politiques
• Mme BLEHIDE Pierrette
90. S.N chargé des Fédérations de la Région du HAMBOL :
• TRAORE Okali
91. S.N chargée de la politique d’Alphabétisation et de la Vie Scolaire :
• Mme KASSI Lucie
92. S.N chargé des Fédérations de la Région du PORO :
• COULIBALY Yacouba
93. S.N. chargé du Tourisme et de l’Artisanat :
• KOFFI Jean
94. S.N chargé des Fédérations de la Région du DJUABLIN :
• EKRA Diaponon
95. S.N chargé des Programmes de Reconstruction et du Développement Solidaire :
• GUI TIEHI Jean-Claude
96. S.N. chargée de l’Education Nationale :
• Prof. ESSIS-TOME Hortense
97. S.N Chargé de l’Energie :
• ASSI BENIE Joseph
98. S.N chargée des Victimes de Guerre :
• Mme KAPET Elisabeth
99. S.N chargé des Elections
• DOGOU Alain
100. S.N. chargé de la Micro-Finance et du Secteur Informel
• MIEZAN Brou
101. S.N chargé des Fédérations de la Région du GUEMON 2 :
• DJEHOUE Victor
102. SN chargé des Fédérations de la Région du GBEKE 1 :
• KOUASSI N’Dri Pierre
103. S.N Chargé des Fédérations de la Région du GBEKE 2 :
• KONAN KOUAKOU Augustin
104. S.N chargé des Fédérations d’ABIDJAN-BANCO :
• ZABA ZADI Lazare
105. S.N Chargé des Fédérations d’ABIDJAN-SUD :
• ELOH Ouégnin
106. S.N Chargée des Exilés, des Réfugiés et de la politique d’Immigration :
• Mme Anne GNAHORET
107. S.N chargé de la Politique Pénitentiaire et des Détenus politiques :
• Michel GBAGBO
108. S.N chargé des Fédérations d’ABIDJAN-LAGUNE :
• NIAMBA N’Drin Benjamin
109. S. N chargé des Fédérations de la Région du MORONOU:
• ALLOU Jean
110. S.N chargé des Fédérations de la Région des GRANDS PONTS :
• YEDOH LATH Honoré
111. S.N chargée des Affaires Internationales :
• Mme BIO Bernardine
112. S.N chargé des Programmes de Reconstruction et du Développement
Solidaire :
• OKOU Zago Paul
113. S.N chargé des Fédérations de la Région du N’ZI :
• KOUADIO Jean Bonin
114. S.N chargé des Fédérations de la Région KABADOUGOU :
• Mme KONE Fatou
115. S.N. chargé des Fédérations de la Région de TONKPI 2 :
• DIGBEHI Bruno
116. S.N chargé des Fédérations de la Région du TONKPI 1:
• BOUIN ZOUEU Jacques
117. S.N. chargé des Fédérations de la Région du BERE :
• SORY Kouyaté
118. S.N chargé des Fédérations de la NAWA :
• GNANAGBE Gogoua
119. S.N. chargé des Fédérations de la Région du GBOKLE :
• GBALE DAPLEU Lazare
120. S.N. chargé des Fédérations de la Région de LA ME :
• BONI Beda
121. S.N chargé des Fédérations de la Région du BELIER 2 :
• N’GUESSAN Kouamé Raymond
122. S.N. chargé des Fédérations de la Région du SUD-COMOE 2
• BOHUI Faustin
123. S.N chargé de la Dette, du Budget et des Marchés Publics :
• KONE Fousseni
124. S.N chargé des Fédérations de la Région du BELIER 1 :
• KOUASSI KOUAME Louis-Gloris
125. S.N chargé des fédérations de la Région du BOUKANI :
• KAMBOU Difilé
126. S.N. chargé des Fédérations de la Région du FOLLON :
• DIARASSOUBA Adama
127. S.N chargée des Ressources Humaines :
• Mme HUE Lou Simone
128. S.N. chargée des Ressources Humaines :
• Melle IPOU EIHOMMAN Jocelyne

Article 3 : Le Secrétaire Général du Parti est chargé de l’exécution de la présente décision qui prend effet à compter de la date de signature et qui sera publiée partout où besoin sera.
Article 4: Toute disposition antérieure contraire est nulle et de nul effet.

Fait à Abidjan, le 04 Juillet 1097977 580992145281022 344173870 n

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 23:13

Quatre ans après la présidentielle de 2010 qui l'a placé en tête du premier tour (39% des suffrages exprimés), Laurent Gbagbo conserve une réelle influence en Côte d'Ivoire, bien que son image tout comme celle de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI) aient été singulièrement entachées par la grave crise ayant découlé du scrutin. Même les perspectives d'u procès devant la Cour pénale internationale (CPI) ne semblent pas de nature à amoindrir son rôle au sein de sa formation, qu'il s'emploie à diriger
à distance à l'approche du scrutin de 2015.

Analyse. ADO,très agréablement surpris. "Ce n'est pas possible". La réaction d'Alassane Ouattara en apprenant de la bouche de ses avocats, Jean-Paul Benoît et Jean-Pierre Mignard,le 12 juin, une avant le communiqué officiel de la CPI, la confirmation des charges pesant sur Laurent Gbagbo est bien plus que le signe d'un simple soulagement.Elle illustre une vraie fébrilité face à la combativité de son ex-adversaire. "Très heureux" de cette décision, le chef de l'Etat
ivoirien ne semblait, à vrai dire,plus croire à la faisabilité de ce procès. ET ce d'autant plus qu'en privé ses deux avocats n'avaient pas hésité à prédire 40% de possibilité d'échec.

Au final, le transfert de Charles Blé Goudé devant la CPI quelques semaines auparavant a permis de renforcer le dossier de la procureure Fatou Bensouda et de convaincre la juridiction internationale. Toutefois,loin d'avoir neutralisé politiquement Laurent Gbagboson défenseur Emmanuel Altit a fait appel de la décision de la CPI-, Alassane Ouattara sait pertinemment que le rôle de son prédécesseur au Palais d'Abidjan reste prépondérant dans la délicate reprise du dialogue avec le FPI.

Gbagbo montre la voie
Quel que soit son avenir judiciaire-en cas de procès, les premières audiences devraient débuter fin 2014-, Laurent Gbagbo continue malgré une santé fragile de distiller sans relâche ses instructions aux visiteurs qu'il reçoit au parloir du Pénitentiaire Inrichtingen Haaglanden à La Haye, au Pays -Bas.L'hypothèse d'un jugement ne modifie pas sa prééminence sur la direction exécutive de cette formation qu'il a lancée dans la clandestinité en 1982. Si Laurent
Gbagbo n'évoque jamais la situation de son pays avec sa seconde épouse Nadia "Nadyé Bamba, visiteuse assidue qui réside en permanence au Ghana où elle s'occupe de la mère de Laurent Gbagbo, il en va autrement avec ses autres interlocuteurs. Pour ces derniers, le président du FPI Pascal Affi N'Guessan et le vice-Président Miaka Oureto en tête, le mot d'ordre reste le même: participer à la prochaine élection présidentielle mais pas à n'importe quel prix. Laurent Gbagbo conditionne notamment une telle stratégie
à une plus grande transparence dans la préparation du scrutin.

Vers un schisme?
Ces consignes ne vont pas sans soulever des vents contraires. D'un côté la tendance "pragmatique",représentée par Pascal Affi N'Guessan, mise sur une accalmie et le dialogue avec le régime d'Alassane Ouattara. Mais fidèle à la ligne fixée par son mentor,avec lequel il s'entretient régulièrement au téléphone, l'ex-premier
ministre libéré en août 2013 continue de critiquer le récent recensement de la population jugé favorable à Alassane Ouattara. Il demande également une Commission électorale indépendante (CEI) plus équilibrée, ainsi que la libération des militants toujours emprisonnés. Inversement, la ligne dure du FPI maintient invariablement ses exigences. Elle pose la libération de Laurent Gbagbo comme préalable à toute négociation et, a fortiori, à une participation à la prochaine présidentielle.Cette mouvance est incarnée par le premier vice-président du parti Aboudramane Sangaré, ainsi que par plusieurs autres barons toujours en exil: Ahoua Don Mello, Koné Katinan, etc... A défaut de consensus, ces différents courants risquent à terme de conduire le
FPI à son éclatement et à sa disparition progressive du paysage politique ivoirien. 
Source: Lettre du continent
n°685 du lundi 25 juin 2014

KLe titre est de la rédaction


 

La lettre du continent:La combativité de Gbagbo fait peur à Ouattara!"
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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 15:47

En Octobre 2000 alors qu’il a été recalé par la cour suprême à l’élection présidentielle,Ouattara Alassane a fait descendre dans les rues des militants RDR fanatisés pour dit-on recupérer le pouvoir qui se trouverait dans la rue.Les militants du RDR s’en sont pris à ceux du FPI qui venaient d’arracher la victoire que Gueï Robert tentait de voler,l’affrontement provoqué par la cohorte de fantisés du RDR a fait de nombreux morts et blessés qui se sont ajoutés à ceux des miliatnts du FPI tombés pendant les 3 jours des manifestations  de protestation contre la tentative  de hold-up électoral.Pendant que Gbagbo prêtait serment,par l’intermédiaire de RFI on apprend qu’il y a un  charnier  non loin de la prisob civile de Yopougon qui serait le fait de gendarmes à la sorte de Gbagbo.

La composition du charnier qui n’est rien d’autre qu’un travail de croque mort fait par les communicants de Ouattara dans le but de salir Gbagbo a servi de pretexte aux hommes de Ouattara de formater l’esprit de nos frères du Nord en leur faisant croire que tous ces morts le sont à cause de leur ethnie et de leur réligion.Ouattarab venait d’obtenir le treerau sur lequel il allait bâtir sa stratégie de prise de pouvoir .Il jette le dévolu de sa haine sur Gbagbo ,le FPIet la gendarmerie nationale qu’il accuse de l’avoir empêchée d’atteindre ses objectifs et leur faire endossé la responsabilté du charnier de Yopougon d’où la Fatwa décretée contre ce corps d’élite.Après une préparation minitieuse au Burkina Faso les desrteurs de l’armée ivoirienne ,quelques mercenaires sierra-leonais ddu fameux Sam Boukari dit mosquito attaque dans la nuit du 18au 19 Septembre 2002 la Côte D’Ivoire sous la forme d’une mutinerie de Zinzinet Bahêfouê non donné aux soldats retournés dans l’armée par Gueï Robert après son putsch du 24 Décembre 1999.

Le bilan de l’attaque et de la vengeance de Ouattara est lourd dans le camp des gendarmes de Bouaké voici donc  la liste nominative des gendarmes torturés, mitraillés ou assassinés dès l’éclatement de la rébellion conduite par SORO GUILLAUME en 2002.

Les gendarmes assassinés à BOUAKE dans la prison du troisième bataillon (6-7-8/10/2002). Vous lirez par n° d’ordre, nom et prénoms, unité et fonction.

  1. Lt /Cl DJOMAN IBO PIERRE, EM3 légion, Cdt 3ème légion
  2. A/C KOLEA ZADI BLAISE, EM légion, chef atelier
  3. A/C ANGATE ALLA, EM légion, chef armement
  4. Adjt/C NGOSSE COULIBALY, EM 3 GIE Bouaké, Adjt Cdt CIE
  5. Adjt N’DRI KONAN, EM3 légion, chef bureau INST
  6. MDL/C KAFFOUMBA KEITA, EM3 légion, chef service social
  7. MDL/C KAPIE KONE, EM3 légion, B courrier 3ème légion
  8. MDL/C TOBO GOMUM MICHEL, EM3légion, service santé
  9. OUATTARA KEGBENIARE, EM3 légion, armurier
  1. MDL/C GOHOU MOMBOHIN, EM3 légion, chef station radio
  2. DML/C POHI SENAYE, BDE, route Bouaké, chef station Radio
  3. MDL/C KAHOU BI BENIE, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  4. MDL/C ACHI AUDY, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  5. MDL/C OKOU GBALE, BDE de recherche, homme de rang
  6. MDL/C N’CHO N’GUESSAN, BDE ville Bouaké, homme de rang
  7. MDL/C OUSSOU TANOH, EM GLE Bouaké, homme de rang
  8. MDL/C KONAN YAO n° 1, EM3 legion, chef atelier montage
  9. MDL/C DJATCHI DALI, BDE ville Bouaké, homme de rang
  10. MDL/C ADOU KOFFI, BDE de recherche, homme de rang
  11. MDL/C ASSANDE ARMAND, EM3ème légion, opérateur radio
  12. MDL LIKPE BABO, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  13. MDL SOUMAHORO LOU, BDE ville Bouaké, homme de rang
  14. MDL OKOI JEROME, BDE ville Bouaké, homme de rang
  15. MDL COULIBALY NAMALA, EM3 légion, homme de rang
  16. MDL MAZAN KOUAHO, EM3 légion, opération
  17. MDL GNADJI ADE CAMILLE, EM3 légion, chef foyer
  18. MDL GBORO GAKPA HERVE, EM3 légion, pool dactylo
  19. MDL GNAGNE ALAIN, EM3 légion, service casernement
  20. MDL BLE SERY légion, EM3 légion, gérant foyer
  21. MDL N’GUETIA KOUMA, EM3 légion, service informatique
  22. ESO NENE, EM3 légion, homme de rang
  23. MDL BILE NOGBOU, EM3 légion, bureau sport
  24. MDL KOUAKOU JEAN-LOUIS, EM3 légion, chauffeur
  25. MDL ESO ESMEL LOUIS, EM3 légion, homme de rang
  26. MDL DIA BI KOUASSI, BDE ville Bouaké, homme de rang
  27. ESO KOUAME FAUSTIN JUIN, EM3 légion, homme de rang
  28. A/C YAPO ADIKO, EM3 légion, chef casernement
  29. A/C BAHA BONFILS, Bouaké recherche, CB
  30. A/C DOSSO MESSOLO, EM3 CIB Bouaké, élément
  31. Adjt SERY SOGLO NESTOR, EM CIL Bouaké, B personnel
  32. Adjt OBO BONI, EM3 légion, BDE
  33. Adjt DOUA GBONGUE, Bouaké recherche, CB adjoint
  34. Adjt KOUAKOU Jean, EM3, légion, atelier moto
  35. Adjt BROU KOFFI RAYMOND, BDE Bouaké ville, CB adjoint
  36. MDL/C CISSE MAMADOU, BDE Bouaké ville, CB Adjoint
  37. MDL GORE BI ZORO, EM3 3ème légion, BDE

Les gendarmes assassinés hors de la prison le 14/11/2002

  1. Adjt VLEHI DEHE PAUL, EM 3ème légion, Chef BRH
  2. MDL/C KOUE BI ZANLI, Bouaké recherche, homme de rang

Gendarme assassiné en pleine rue, en tenue civile, sur dénonciation (fin septembre 2002)

  1. MDL SOMBO MAMBO, BDE recherche, homme de rang,

Gendarmes assassinés dans d’autres villes

  1. MDL/C GLAZAHI SIABA LAURENT, mle 1946, BED Ferké, assassiné à Ferké
  2. MDL/C BEA KEUWA PIERRE, mle 20880, EMCIE Ferké, assassiné à Korhogo
  3. MDL N’GUESSAN KOUASSI ANTOINE, Mle 22031, BDE Napié, assassiné à Dikodougou.

Ces gendarmes  exécutés étaient tous  prisonniers. Ils n’étaient pas en situation de combat. La convention de Vienne accorde  des droits à tous les prisonniers de guerre. En clair les hommes de GUILLAUME  SORO dont le commanditaire n’est autre que Ouattara Alasssane ont violé délibérément cette convention pour faire de ces gendarmes un charnier. Leurs corps n’ont jamais été retrouvés ,face aux grands bruits et l’indignation que ces exécutions sommaires ont provoquées les restes des infortunés  ont été exhumés et enterrés sur le territoire burkinabé, pour éviter les enquêtes des organisations internationales de défense des droits de l’homme. Et pourtant les épouses ,les enfants  et les familles de ces gendarmes attendent toujours le corps de leur mari ou de leur papa, pour leur accorder une sépulture digne de leur rang.

 

les dozos de ouattara

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 11:33

Affi Nguessan drapeau

Dans le cadre de notre tournée dans le Haut Sassandra et précisément à l’étape de Zoukougbeu, j’ai dis à la population de cette belle localité qu’on a titubé mais qu'on n’est pas tombé, car le  FPI et #GBAGBO reviennent bientôt, et que GBAGBO doit être libéré pour que la Cote d’ivoire soit guérie. Ces mots remplis de souvenirs, au lieu de plonger les militants et populations Gnanboi de Zoukougbeu dans l’amertume, l’angoisse, la mélancolie les ont plutôt poussés dans une joie indescriptible.
Ce paradoxe, qui induit l’effectivité du passage de la tristesse à la joie, à la paix, à la liberté, a caractérisé les militants du Front Populaire de Zoukougbeu que nous avons retrouvé ce mercredi 12 mars 2014.
Avant d’être à Zoukougbeu, nous avons traversé les villages de Gregbeu et de Zoukangbeu, où nous attendaient les populations, afin de nous réserver un accueil fort chaleureux.
L'amour pour le prochain qui inspire le Front Populaire ivoirien, l'a toujours conduit au cours de ces tournées vers le plus petit des ivoiriens pour le saluer, surtout que l’ouest se remémore encore ses enfants tragiquement assassinés, ainsi que certains de leurs villages accidentellement rayés de la carte de la Cote d’Ivoire, parce que ravagés par les effets dévastateurs de la guerre.
A Zoukougbeu, le porte-parole des populations, le fédéral FPI Jean Guissi, natif dudit village, n’est pas passé par quatre chemins pour dénoncer les tortures et assassinats perpétrés sur les populations Gnaboi par les hommes armés par le pouvoir en place aujourd'hui. Il n’a pas manqué d’avouer, devant ses parents, le malaise économique qui fragilise tous les ivoiriens, affirmant par ailleurs que « la solution est au pouvoir, mais la pauvreté est dans le peuple », pour renchérir à la mal gouvernance que connait le pays.
Ce peuple a su manifester son hospitalité à mon égard et à la délégation qui m’accompagnait en nous offrant des présents de qualité.
Rempli de solidarité à l’endroit d’un peuple qui renait des affres de la guerre, j’ai livré un message d’encouragement et d’espoir qui devrait être un stimulant à la reconstruction du pays, par le règlement du problème ivoirien qui demeure l’isolement de Laurent GBAGBO à la Haye, la détention de Simone Ehivet GBAGBO, de Charles Ble Goude, de Jean Yves Dibopieu honteusement exposés ces jours ci dans la presse, des détenus civils et militaires pro GBAGBO, du retour des exilés, etc.
Nous avons justifié la vision du Front Populaire Ivoirien qui propose les  EGR (États Généraux de la République) comme moyen pour sortir définitivement le pays des enchevêtrements a polémique qui n’honorent pas la Cote d’Ivoire.
C’est la raison pour laquelle j’ai dis à ce peuple que la lutte n’est pas encore terminée, et que c'est pour cela que je sillonne la Cote d’Ivoire. Pour soulager les cœurs meurtris, pour compatir a la douleur des populations qui ne demandent qu’une modeste considération de notre part.
Nous avons rendu hommage à tous les morts, en rappelant l’exigence du moment qui consiste a honorer la mémoire de ces derniers en poursuivant le combat de la dignité pour lequel d'autres sont tombés. Ainsi, ceux qui sont morts sauront qu’ils ne sont pas morts pour rien, parce que ceux qui sont restés après auront été dignes de mener le combat, sans tourner le dos, au risque d’avoir en face d’eux les fantômes de ces derniers qui les hanteront par notre démission et nos forfaitures.
Profitant du rappel de la résistance dont ont fait preuve les militants du FPI, nous avons crevé l’abcès, en plaçant Dieu au centre de toutes les manifestations qui ont déphasé nos adversaires qui n’ont pu nous maintenir indéfiniment, certains de mes camarades de lutte et moi, en détention. Voila pourquoi j’ai affirmé, devant les Gnanboi de Zoukougbeu, que le FPI ne peut pas mourir, car le FPI n’est pas un morceau de bois que l’on peut écraser facilement.
Nous avons également opposé l’amour au mal que certains magnifient en semant la désolation, la mort et la misère sur leur passage, alors que l’amour est une valeur impérissable, tout comme la justice, la liberté...
Nous avons exhorté les militants et sympathisants du FPI au travail pour reconstruire ce que les autres ont détruit, tout en indiquant que le FPI triomphera du démon qui s’est installé en Cote d’Ivoire depuis un certain temps et qui l’empêche d’évoluer.
Les actes de générosité de Laurent GBAGBO ont meublé les instants nostalgiques du passage de l’homme à la tête de l’Etat de Cote d’Ivoire, et nous les avons rappelés aux populations qui nous écoutaient attentivement sur ce point.
Laurent GBAGBO le père de la philosophie politique du « asseyons nous et discutons » a été honoré pour son humanisme qu’il fondu à la politique, ce qui lui a valu ce parcours historique et emblématique.
Cette fierté qu’il représente pour l'Afrique et le monde entier prouve bien qu’il ne restera pas en prison car on ne peut pas être militant de la transition pacifique à la démocratie, seul contre toutes les situations vécues, même les plus rocambolesques en politique, et se retrouver injustement derrière les barreaux, loin de sa terre natale.
En outre, nous avons sensibilisé tous ceux qui ont fait l’erreur de choisir le mensonge aux élections présidentielles de 2010 à rejoindre maintenant le FPI pour lui redonner la victoire en 2015.
Après ce meeting, nous sommes retournés a Zokpangbeu, village situé a 02 km de Zoukougbeu, pour échanger avec les militants FPI de cette zone dont le porte parole Gossé Albert, en sa qualité de chef central de village, a exprimé la joie de nous recevoir et il a demandé au nom des autres les nouvelles du Président Laurent GBAGBO.
À la suite du chef central de Zoukpangbeu, et en ma qualité de président du Front Populaire Ivoirien, j’ai apprécié la considération à mon égard, j’ai informé les militants sur la situation réelle de Laurent GBAGBO en leur demandant leurs concours pour la suite du combat.
Je leur ai dis que Laurent GBAGBO se portait bien et que le combat dans lequel il se trouve est le combat de tous et nécessite, des uns et des autres, des actions pour sa libération. Je leur ai dit que Laurent GBAGBO ne souffre plus de problème juridique, parce que le dossier est vide, mais plutôt d’un problème politique qui devrait connaitre maintenant un dénouement heureux, sauf mauvaise foi; mais si le contraire se produisait il faudra trouver toutes les voies pour exiger sa libération, car l’avenir de la Cote d’Ivoire en dépendrait.
Nous avons encouragé les militants et villageois à exorciser le mal qui a souillé le village par des rites de purification, pour que les esprits bienveillants continuent de veiller sur les Gnanbois.
Jeudi 13 mars 2014 est la suite de l’étape de Vavoua, avec pour première destination Bonoufla village, situé a 26 km de Daloa, pour une purification, ensuite Vavoua pour une escale chez le préfet afin de lui rendre les civilités, puis Dananon pour un meeting, Bazra-Nattis pour un autre meeting, avant le retour sur Vavoua pour le déjeuner et le départ pour Daloa.
Ce jeudi marque l’avant dernier jour du séjour du Front Populaire Ivoirien dans cette partie du haut Sassandra qui prendra fin le Vendredi 14 mars 2014 par un meeting géant à la ''Place pétanque'' de Daloa.

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 15:34

Depuis le 09 mars 2014, nous découvrons sur les réseaux sociaux internet et dans la presse, des photos de Monsieur Charles BLE GOUDE, en caleçon, le torse nu, couché à même le sol dans une cellule de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST), une unité de police spéciale. 

Ces images, ont naturellement suscité indignations et réprobations.
C’est dans ce contexte que nous avons été invités, dans la matinée du mardi 11 mars 2014 par le Juge d’Instruction, à prendre part à une audition de Monsieur Charles BLE GOUDE dans le cadre de la procédure ouverte devant le Tribunal de Première Instance d’Abidjan, pour les faits de génocide, assassinat, meurtre et autres.zouzou.jpeg
Cette audience d’interrogatoire au fond, qui s’est tenue ce mardi 11 mars 2014, de 10h30mn à 16h30mn, en présence de Monsieur Procureur de la République près le Tribunal de Première Instance d’Abidjan et des Avocats de Monsieur Charles BLE GOUDE, s’est déroulée dans de bonnes conditions et dans un bon esprit.
Cependant, nous avons trouvé Monsieur Charles BLE GOUDE très amaigri, épuisé, et portant visiblement les séquelles des conditions inhumaines de sa détention, au secret depuis près de quatorze mois (conditions qu’il nous a encore confirmé).
C’est pourquoi, nous tenons une fois de plus à prendre l’opinion nationale et internationale à témoin sur les violations flagrantes et graves des droits de l’homme et des droits de la défense dont Monsieur Charles BLE GOUDE est victime.
Aussi, nous invitons incessamment l’Etat de Cote d’Ivoire à se conformer aux règles et procédures légales édictées par la Constitution Ivoirienne, les Conventions internationales et le Code de procédure pénale ; Et à mettre fin au régime de détention illégale et arbitraire de Monsieur Charles BLE GOUDE.
Fait à Abidjan, le 12 Mars 2014
Le collectif des Avocats

 

 
 
 
 
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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 14:49

pdt nadaud clement

Clement Nadaud président de la Sorbonne Solidarité du plateau dans une interview  accordée à eburneainformation s’est prononcé  sur les images de Blé Goudé et Dibopieu dans leur lieu de detention et la crise en Ukraine.

Eburneainformation :Bonjour Président cela fait longtemps que les ivoiriens ne vous ont pas entendu par notre canal que devenez vous ?

Clement Nadaud :C’est vrai cher ami cela fait vraiment un bail.Je suis en pleine forme et serein,nous réflechisonns avec des amis sur comment arriver à créer les conditions idoines pour un retour de la démocratie et la liberté en Côte D’Ivoire.

E.I :Pensez vous qu’il n’ y a pas de démocratie en Côte D’Ivoire et pourtant la communauté internationale a renoué avec Abidjan depuis l’arrvée de Ouattara.

C.N :j’affirme et je persiste qu’il n’ y a pas de démocratie et de liberté en Côte D’Ivoire et les conditions ne sont pas réunies nous sommes en Côte D’Ivoire à l’ère du nazisme tribal le plus nausseux,coment comprendre qu’à longueur de journée les gens sont arrêtés et jeté en prison sous le pretexte fallacieux d’atteinte à la sureté de l’Etat,les menaces de mort sur des personnalités sont proférées par les pontes de la coaltion au pouvoir si nous prenons en exemple les menaces contre le président AFFI N’GUESSAN de Toungara Adama ministre des mines et maire d’Abobo qui a instrumentalisé les milices proches de Ouattara qui font la pluie et le bon temps à Abobo.En ce qui concerne la communauté internationale cela ne pouvait être autrement,c’est elle qui a aidé Ouattara a arrivé au pouvoir c’est donc tout naturellement qu’elle l’accompagne ,pensez vous que si ce n’était pas leur homme fermera-t-elle les yeux sur les multiples violations des droits de l’homme dont le régime de Ouattara est coupable.Souvenez vous au temps de Gbagbo même la mort d’un simple jardinier de Ouattara emmenait l’O.N.U à prendre des résolutions et pourtant nous n’avons pas vu l’ONU exigé que les auteurs du massacre de Nahibly soient traduits devant les tribunaux ,c’est le silence total comme si rien ne s’était passé.Voici la communauté internationale telle qu'elle est , elle travaille uniquement que pour les intérêts des ses mandants et comme actuellement en Côte D’Ivoire c’est Ouattara qui protèges ses intérêts alors elle se tait.

E.I :A propos de droit de l’homme les internautes et la presse ont publié des images de Blé Goudé et de Dibopieu,le porte parole du RDR et la presse proche de Ouattara parle de montage.

C.N :Les images des deux leaders de la lutte démocratique me confortent dans ma position qu’il n’y a pas de démocratie en Côte D’Ivoire car comment comprendre que des personnes supposées être sous mandat de dépôt se trouvent encore dans les geôles de la DST et dans des conditions inhumaines dormant à même le sol les livrant ainsi à toute sorte d’infection,elles sont simplement revolatantes et écoeurantes.Quant à l’attitude des hommes de la coalition criminelle au pouvoir leur attitude ne me surprend guère ce sont des êtres déshumanisés par la haine,leur cynisme n’a point d’égal et cette récation n’est pas nouvelle,souvenez vous qu’ils ont nié que le gendarme égorgé n'est pas mort et que c’était juste une mise en scène pour démontrer la puissane des Dozos.Alors de ceux là attendre qu’ils reconnaissent leur tord cela relèvera d’un miracle tellement ils ont l’art de l’anachronisme et du mensonge.Voici des personnes qui ont été les premières a introduit la violence en politique en Côte D’Ivoire mais qui aiment à se" victimiser".

E.I :Les images n’ont-elles pas découragées vos partisans ?

C.N :Pas du tout quiconque pense pouvoir nous décourager en publiant ces images se trompe ,au contraire les images de Blé Goudé Charles et de Dibopieu loin de nous décourager ont déculpé notre ardeur à lutter afin de changer cette dictature animale de Ouattara par une démocratie humaine en Côte D’Ivoire et les ivoiriens dans leur grande majorité sont plus que déterminés car n’oubliez pas que Blé Goudé est celui qui par la caravane de le réconciliation nationale a permis que l’accalmie arrive en Côte D’Ivoire lambda et non exégète de la politique voit en lui un faisseur de paix et ceux là ont été choqué par ses images .Les chansons sont là pour démontrer que Blé a été à un moment donné celui qui œuvré pour la paix en Côte D’Ivoire qui ne se souvient pas de la chanson Zouglou qui dit :"‘Blé Goudé a dormi à Bouaké dans la chambre de Wattao ",qui ne se souvient pas de l’appel du café de versailles qui a évité un bain de sang.C’est le lieu de dire au hommes de Ouattara ,il est temps pour eux de mettre balle à terre et d’aller à la paix sincère et non à la reconcilation des vainqueurs ;où c’est celui qu’on croit avoir vaincu qui doit baisser la culotte pour se faire botter les fesses car Hochimin a vaincu l’armée américaine seulement avec la détermination des vietnamiens épris de liberté,Ali Ben Bellah a fait fuir l’armée coloniale française d’Algérie avec la détermination des algériens .En Côte D’Ivoire on dit l’hommùe qui est couché n’a plus peur de tomber.

E.I :Pensez vous que la situation vietnamienne et algérienne est identique que celle de la Côte D’Ivoire ?

C.N :oui car au Vietnam c’était un soutien des forces impérialiste à un gouvernement corrompu et travaillant contre les intérêts du peuple vietnamiens que Hochimin et le Général Giap ont combattu.En Algérie c’était la même chose.Aujourd’hui en Côte D’Ivoire c’est pareil,neût été l’opération de Ouattara ,Hollande serait venu en Côte D’Ivoire pour consacrer ce régime dictatorial installé par son prédécesseur voici de ce qui est de la ressemblance politique,qu’on ne s’y me prenne pas ce qui se passe en Côte D’Ivoire n’est pas une question de gestion du pouvoir,ce n'es ni plus ni moins qu’une expropiation des richesses des ivoiriens au profit des puissances internationales qui voient leur système économique et social s’éffondrer et donc qui pense qu’un certain s nombre de pays africains tel que la ,le Nigéria,RDC,le Cameroun,la Centrafrique,la Côte D’Ivoire doivent tomber dans leur giron pour garanti leur pays en matières prémières stratégiques tels que le pétrole ,le diamant ,les mineraux précieux que sont la tentalite,le colbat et l’uranium.Malheureusement pour la Côte D’Ivoire est n’est pas que seulmement victime de l’attaque néo-colonialisme de la France ,certain voisin tel que le Burkina Faso estime que l’heure est venue pour que ses ressortissants qui ont travaillé comme manœuvre agricole prennent la place de leur hôte.

E.I :Dans votre réponse vous parliez de décadence du système occidental est que c’est cela qui explique que le monde soit au bord d’une troisième guerre mondiale avec ce qui se passe en Crimé ?

C.N :Même si toutes les 2 guerres mondiales que le monde a connu sont parties d’une crise économique du monde occidental,je ne pense pas que l’être humain soit devenu fou pour provoquer son extinction de si tôt.Je ne pense pas que les grandes puissances arriveront jusqu’à là ,elles trouveront entre elle un compromis bancale pour sauver la face n’oubliez pas qu’elles ont partagé les sphères d’influence.L’occident a fait une vaine tentative d’irruption dans la sphère d’influence russe et Vladmir POUTINE en tant qu’ancien chef du KGB leur a simplement rappelé que l’Ukraine c’est à 2 pas de Moscou et nous ne sauront laisser l’ennemi à nos portes ,tel est le message de Poutine aux occidentaux et leurs brindilles de menaces le fait marrer car la Russie n’est pas la Côte D’Ivoire.Quoique avec ses maigres moyens la Côte D'Ivoire de Laurent Gbagbo avait su faire face n'eût été les félons en notre sein nous serions aujourd'hui entrain de savourer l'air délicieux de la liberté totale.

E.I :Nous tirons à la fin de notre entretien quels mots de fin pour les ivoiriens

C.N :Aux ivoiriens je leur dit dire d’être fort et de tenir la liberté n’est plus loin ,ce que nous voyons actuellement en Côte D'Ivoire ne sont que les derniers soubvreseauts d’un régime désemparé et à l’agonie.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:56

En marge du Sommet sur la Paix et la Sécurité en Afrique, tenue du 05 au 07 Décembre à Paris,Ouattara Allassane a accordé une interview à la BBC ;dans cet entretien ,il parle de Nelson Mandela, la crise centrafricaine et le processus de réconciliation en Côte. d’Ivoire.

BBC :Monsieur le Président que retiendrez-vous de Nelson Mandela ?

ALLASSANE OUATTARA : Nelson Mandela est un modèle. Ce qu’il a réalisé en Afrique du Sud, transformer la haine en amour et faire en sorte qu’un pays totalement divisé puisse se rassembler en si peu de temps c’est une voie qui est tracée pour nous, tous les pays qui ont été en crise, la Côte d’Ivoire en fait parti, nous devons nous en inspirer.

BBC :Est-ce que pour la Centrafrique la solution c’est une intervention militaire, française de surcroit ?

A.O :Non ce n’est pas une question d’intervention militaire française, il faut mettre de l’ordre dans ce pays, il faut sécuriser les populations, leur amener de l’aide humanitaire, organiser des élections le plus rapidement possible et enfin avoir un État, parce qu’aujourd’hui il n’y a pas d’État.

BBC:Mais plus de 50 ans après les indépendances, compter sur la France sur le plan militaire n’est-ce pas pas un échec de leadership ?

A.O : Non ce n’est pas un échec. Vous savez, l’Afrique c’est vaste, nous avons 54 États, nous sommes divisés en régions. Prenez l’exemple de l’Afrique de l’Ouest, nous avons eu le problème du Mali et nous nous sommes engagés très rapidement à faire en sorte que les auteurs du coup d’Etat quittent le pouvoir, nous avons organisé nos armées pour intervenir au Mali, mais au départ ce sont les autorités maliennes qui n’en voulaient pas jusqu’à ce que les choses s’aggravent et ensuite nous sommes intervenus. La France est intervenue au bon moment et la communauté internationale a pris le relais. Un État ouest africain également, la Guinée Bissau a eu ses problèmes et personne n’est là-bas sauf la CEDEAO. Nous avons envoyé plus de 630 soldats, nous avons dépensé 65 millions de dollars pour mettre en place une structure de sécurisation, nous sommes en train de faire en sorte que les élections soient organisées par la CEDEAO et les États vont se cotiser chacun 20 millions de dollars. Donc ne croyez pas que les chefs d’ État africains attendent tout simplement que la France ou la communauté internationale volent à notre secours. Mais il y a des cas où c’est dans l’intérêt de tous. Le Mali c’était une situation d’intervention terroriste, il fallait donc des équipements particuliers, il fallait de l’aviation, il fallait des renseignements. Nous n’avons pas encore ces moyens mais nous les aurons.

BBC : Il y a eu récemment des allégations d’experts de l’Onu selon lesquelles le pouvoir d’Abidjan a envoyé des hommes au Ghana pour éliminer physiquement des pro-Gbagbo.Qu’avez-vous à répondre ?

A.O :Vous savez ces experts doivent être renvoyés de l’Onu, je trouve ça abject, c’est du non sens, c’est n’importe quoi. Le président ghanéen que j’ai vu m’a dit qu’il fera une déclaration. Je pense que les nations unies devraient choisir avec un peu plus de contrôle et de vérification ces soi-disant experts. Tout ce qu’ils disent est mensonger, inacceptable. J’ai donné d’ailleurs copie de mon communiqué de presse au secrétaire général Ban Ki Moon pour lui dire que pour ne pas l’embarrasser je ne fais pas de correspondance publique mais je veux qu’il sache que je ne suis pas contents, les Ghanéens ne sons pas contents, les Libériens ne sont pas contents.

BBC : Vous avez fait une tournée dans pays et votre gouvernement est en train de se battre pour que la réconciliation soit une réalité, mais il y a toujours des difficultés. Peut-on dire que vous peinez à faire de sorte que cette réconciliation se concrétise ?

A.O :La réconciliation avance bien. J’étais d’abord dans l’ouest avant d’aller au centre. Mais vous savez quand un pays a traversé une telle crise il faut du temps. Regardez tout de même les États-Unis quand il y a eu la guerre de sécession, les problèmes entre les États-Unis et le Japon à l’occasion de la deuxième guerre mondiale, regardez les problèmes entre l’Allemagne et la France, ça prend des dizaines d’année. En Côte d’Ivoire nous y sommes depuis 2 ans, les populations se parlent, leurs enfants vont à l’école ensemble, ils vont au marché ensemble. Les choses se normalisent et très rapidement, à l’ouest, au centre et surtout à Abidjan où il y a le quart de la population ivoirienne. Nous sommes sur la bonne voie, nous voulons normaliser notre pays, et je dirais que le pays est normalisé. Ma seule ambition maintenant c’est d’améliorer le mieux être des Ivoiriens, le quotidien des Ivoiriens et faire en sorte qu’en 2015 nous ayons des élections totalement démocratiques, dont les résultats seront acceptés par tous et nous permettent de progresser davantage pour devenir un pays émergent j’espère en 2020.

Source : BBC Afrique

 

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 17:51

." Le 13 Décembre 2013, répondant à une question d’un parlementaire thaïlandais, Président de la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants, voulant avoir des éclaircissements sur la décision de l’Etat ivoirien de transférer le Président Laurent Gbagbo à la Haye, M. Soro Guillaume a fait une série d’affirmations et dr-assoa-adou.jpegd’extrapolations sur lesquelles il est utile de s’arrêter.

1-A propos des élections présidentielles M. Soro affirme que « les élections se sont bien passées». Or, il est connu et bien établi, que, dans les circonscriptions électorales du Nord, c’étaient les rebelles de Soro et de Ouattara, en armes, qui régnaient en maîtres ; que les représentants du candidat Gbagbo ont été interdits d’accès aux bureaux de vote ; que des électeurs du candidat Gbagbo ont été empêchés de voter ; que des urnes ont été, soit, bourrées, soit emportées, soit saccagées ; que des procès-verbaux de bureaux de vote fictifs ont été comptabilisés au profit du candidat Ouattara ; que le candidat Ouattara y a obtenu, parfois, plus de 100 % des voix ? Toutes ces anomalies ont été relevées par la mission d’observation électorale de l’Union Africaine et de nombreux autres observateurs africains. M. Soro va plus loin en déclarant : «Quand on perd une élection, la démocratie veut qu’on cède le pouvoir à celui qui a été choisi par le peuple. Mais comme il avait une partie de l’Armée avec lui, il a refusé de quitter le palais présidentiel. Et a envoyé ses soldats occasionner des tueries à Abidjan. Il y a eu au total 3.000 morts ». Ce n’est pas tant la falsification de l’histoire de la Côte d’Ivoire par M. Soro Guillaume qui nous interpelle car tout Ivoirien sait qu’elle est gérée par un régime ethnogénocidaire et dictatorial qui a érigé la falsification et le mensonge en mode de gestion de l’Etat. Ce qui est en jeu, c’est de voir un pouvoir qui, cherchant d’une manière urgente les moyens financiers de sa survie, se fait aveugle et falsificateur de sa propre histoire pour implorer la pitié de ses donateurs. M. Soro Guillaume, chef rebelle qui a massacré gendarmes, femmes, enfants et qui a détruit plusieurs villages et pillé la moitié du pays pendant plus de 8 ans pour la gloire et avec l’aide de son mentor Ouattara Alassane, veut se faire passer pour la victime de ses victimes en accusant le Président Laurent Gbagbo d’avoir tué 3 000 Ivoiriens. Cette bibliothèque ambulante de contre-vérités s’est effondrée devant la Cour pénale internationale qui cherche depuis plus de 2 ans, des preuves des accusations fausses qui ont justifié la prise en otage du Président Laurent Gbagbo à la Haye. Pour rappel et information au député Thaïlandais, nous réaffirmons que Laurent Gbagbo a été attaqué en septembre 2002 par les rebelles de Soro Guillaume, deux ans après sa brillante élection comme Président de la République de Côte d’Ivoire reconnu par le Conseil Constitutionnel. Cette attaque s’est reproduite en 2010, deux semaines après l’investiture du Président Laurent Gbagbo par le Conseil Constitutionnel comme Président de la République de Côte d’ Ivoire après une nouvelle victoire électorale obtenue, le 28 novembre 2010. Cette dernière attaque a été facilitée par l’appui de l’armée française, qui, contrairement à 2002, a décidé d’être en première ligne pour éviter tout échec. C’est ainsi qu’après d’intenses bombardements de l’armée française sur la ville d’Abidjan et sur la résidence d’Etat du Président Laurent Gbagbo, faisant suite à plusieurs massacres de civils à l’ouest et dans la ville d’Abidjan par les rebelles de Soro Guillaume, le Président Laurent Gbagbo a été pris en otage et déporté à la Haye. 2- A propos des charges de Premier ministre et de ministre de la défense M. Soro Guillaume déclare encore : « En ma qualité de Premier Ministre et Ministre de la Défense, j’ai été obligé d’assumer les responsabilités qui m’avaient été confiées pour arrêter les tueries ». On peut se permettre ce grand écart de contre-vérité loin des sachants de la crise ivoirienne. Pour une bonne information à l’attention du peuple Thaïlandais, au moment des forfaits de Ouattara, Soro et Nicolas Sarkozy, le Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire s’appelait Gilbert Marie Aké N’Gbo et le Ministre de la défense s’appelait Alain Dogou. 3- A propos des prisonniers politiques M. Soro Guillaume affirme, assuré de ne pas être pris à défaut par le député Thaïlandais : « Il n’y a plus d’opposants en prison, quel que soit leur degré d’implication dans la crise qui a secoué notre pays ». Pour la bonne information du peuple Thaïlandais, la Côte d’Ivoire compte aujourd’hui plus de 700 prisonniers politiques, civils et militaires et des milliers d’exilés. Les exécutions sommaires d’opposants sont devenues des exercices pour les chasseurs traditionnels Dozos ayant remplacé les forces de défense et de sécurité. 4- A propos de l’Assemblée nationale Devant le député thaïlandais, M. Soro proclame sans sourciller: « Je voudrais vous informer qu’en ces moments difficiles pour notre pays, il n’y avait pas d’Assemblée nationale … Aujourd’hui, je suis heureux de vous apprendre que notre pays a retrouvé un fonctionnement institutionnel normal, y compris l’Assemblée nationale. Les députés que vous voyez ici sont de plusieurs partis ou groupements politiques et représentent la diversité politique de notre pays ». Soro Guillaume confirme là un vieil adage qui dit « à beau mentir qui vient de loin, on le croira toujours », lui qui, en cette terre thaïlandaise, vient effectivement de si loin et donc ne court aucun risque d’être contredit. Et, pourtant l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire était bien en place et c’est M. Ouattara, qui, après son coup d’Etat, en a prononcé la dissolution en avril 2011 comme le font tous les putschistes en Afrique. Pour prouver qu’il y avait bien une Assemblée nationale ivoirienne, nous rappelons à M. Soro que celle-ci a adopté à l’unanimité en septembre 2010, avant la crise, « la loi n°2010-272 du 30 septembre 2010 portant interdiction de la traite et des pires formes de travail des enfants » présentée par le ministre Emile Guiriéoulou, à l’époque ministre de la Fonction publique et de l'Emploi. Cette même Assemblée nationale a organisé pendant la crise en février 2011 une séance d’information parlementaire sur la crise postélectorale avec les ministres de la Défense et de l’Intérieur. Quant à l’actuelle Assemblée « nationale », Soro se ridiculise quand il croit tromper les députés thaïlandais en affirmant « Les députés que vous voyez ici sont de plusieurs partis ou groupements politiques et représentent la diversité politique de notre pays » alors qu’il est de notoriété en Côte d’Ivoire comme à l’étranger que le seul groupement politique qui y est représenté est le RHDP ( Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix ), groupement politique qui a soutenu la candidature de M. Alassane Ouattara à l’élection présidentielle de 2010. D’ailleurs, il est clairement établi que l’élection à l’Assemblée nationale a été, selon les termes de France 24, télévision d’Etat française et principal soutien de M. Ouattara, « un désert électoral ». Le taux de participation n’est pas supérieur à 15%, alors que le gouvernement Ouattara donne le chiffre de 32%. Tous ceux qui s’intéressent à la Côte d’Ivoire savent que ni le FPI, ni aucun autre parti politique ivoirien en dehors du RHDP, qu’il soit pro-Gbagbo ou non, ne sont représentés dans cette l’Assemblée « nationale » que dirige M. Soro Guillaume. Cette Assemblée nationale n’est donc pas représentative et est illégitime. Par ailleurs, les parlementaires thaïlandais ont dû certainement « apprécier » à sa juste valeur la maîtrise des procédures parlementaires par Soro s’ils n’ont pas tout simplement été embrouillés par lui. Suivons plutôt les « brillantes démonstrations » de Soro : « Le Parlement que je dirige a ratifié le traité de Rome instituant la Cour Pénale Internationale … Avant que le Parlement ne ratifie un traité, il est d’abord signé. Et ce traité avait déjà été ratifié par le Gouvernement … Quand je suis arrivé à l’Assemblée nationale, nous l’avons adopté … C’est par ordonnance que le traité avait été signé par le Président de la République. Quand le Parlement a été installé, il a ratifié ce Traité ». 5-A propos de la Côte d’Ivoire comme nation démocratique Il affirme enfin : « C’est un honneur pour nous et le signe que notre pays a retrouvé sa place de nation démocratique, respectable et respectée. » Il suffit de se référer aux rapports d’ONG des droits de l’homme pour connaître la vérité. Conclusion C’est le lieu pour la Coordination FPI en exil, de redire que le Président Laurent Gbagbo a gagné les élections en Côte d’Ivoire. Il a été proclamé comme tel par le Conseil Constitutionnel de la République de Côte d’Ivoire devant lequel il a prêté serment. Il ne s’est pas autoproclamé Président de la République. Il est donc faux de dire qu’il « a refusé sa défaite en s’accrochant au pouvoir ». Il n’a pas massacré des civils et commis tous les crimes dont on le tient pour coupable et dont on cherche vainement, par la Cpi interposée, les preuves. Soro et son mentor Ouattara sont les seuls responsables de la tragédie ivoirienne, avec la bénédiction de la France qui a instrumentalisé la communauté internationale. L’absence de preuves dans l’affaire « le Procureur de la Cpi contre Laurent Gbagbo » est la preuve que sa déportation et sa détention dans les geôles de la Cpi répondent à des considérations purement politiques. Sa libération s’impose donc pour donner des chances à la paix véritable et à la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire. Accra, le 22 novembre 2013. Pour la Coordination FPI en Exil. Dr. Assoa Adou Coordonnateur et Porte Parole

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 15:20

Les habitants de Cocody (SODEFOR) dans le secteur de la Pharmacie Mimosas  et à quelques mètre de l’Ecole Nationale de la Gendarmerie ont  vécu une nuit agitée leur rappelant le souvenir de Septembre 2002, réveillés par des tirs nourris aux alentours de 01h30mn dans la nuit du Mercredi 20 au Jeudi 21 Novembre 2013.

Les tirs d’une violente intensité ont duré près d’une heure selon le témoignage obtenu auprès des riverains. Des éléments FRCI en faction sur la voie ont eu maille à partir avec un commando non encore identifié. Six éléments du CCDO auraient perdu la vie dans ces affrontements contre seulement  deux du côté des hommes du commando .Selon nos informations les survivants du commando auraient emporté  plusieurs armes de guerre.

Cela fait maintenant deux attaques avec armes en emportées en quelques jours d’intervalle car à Angré deux éléments F.R.C.I assurant la garde d’une famille d’un homme d’affaire ont passé de vie à trépas par un commando qui a emporté leur arme.  

L’insécurité grandissante au cœur de métropole abidjanaise est dû essentiellement à des supplétifs FRCI, combattants  pro-Ouattara  qui détiennent illégalement  toujours des armes de guerre distribuées par Ouattara et ses soutiens lors du coup d’Etat  le plus long jamais réalisé au monde.

Si certains supplétifs  ont  intégré la nouvelle armée de  Ouattara, nombreux sont ceux qui ont été désillusionnés par les promesses chimériques de Ouattara .  Déçus de leur mentor ne voyant pas  venir  les promesses  de 5000000 et une villa ou leur intégration dans les rangs des FRCI. Ces ex-combattants pro-Ouattara  sont devenus  pour la plupart des coupeurs de routes, des braqueurs, qui sévissent sur le territoire   ivoiriennes territoire ivoirien créant une situation de terreur et de peur.

Mieux les informations que nous disposons ne sont guère rassurante pour les ivoiriens car les frustrés du PRADO menacent de se faire entendre par la manière qu’ils maîtrisent mieux c’est à dire  des attaques tout azimut et de grande envergure car disent ils trop c’est trop.

 

woody4

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