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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 22:00

obama
MESSAGE DE POUTINE A ASSAD
Ce matin,c'est Dampress qui publie le message de Poutine a Assad:"La Russie ne permettra pas qu'un seul missile ou une seule bombe s'abattent sur le territoire syrien . La Russie se tiendra droit aux côtés de l'Etat syrien"

Pour comprendre que tout cela est possible et que la Russie en a les moyens,remontons en Janvier 2013 pour comprendre ce que les medias occidentaux ont refuse de nous dire.Les medias occidentaux ont refuse de nous parler de ce que le site algerien Algeria1 a appele "La vraie bataille pour la Syrie, celle dont les médias ne vous parleront jamais".
Parallèlement à ces batailles terrestres, en Méditerranée avait lieu une guerre plus complexe entre les flottes russe et américaine avec des manœuvres stratégiques et de repositionnement extrêmement risquées, selon toutes les règles de l’art militaire moderne. Sans tirer un seul coup de feu, cette confrontation de mouvement a été remportée de manière catégorique, pour la première fois depuis la guerre froide, par la Russie. Voilà pourquoi la presse copier-coller occidentale est restée silencieuse à ce sujet.

Tout d’abord, en Méditerranée orientale, au large des côtes syriennes, est apparue le groupe d’attaque Task Force 502 de la Sixième Flotte des Etats-Unis, qui comprend un porte-avions (George Bush?) Avec à son bord 80-90 avions et hélicoptères. Sa mission était de se positionner de manière à pouvoir lancer des frappes aériennes contre des cibles de l’armée syrienne à Damas encerclé par les rebelles, aider ces derniers à surmonter la résistance de l’armée syrienne et à s’emparer du pouvoir. Mais les Russes ont contrecarré les intentions américains en interposant immédiatement, entre Task Force 502 et la côte syrienne, le porte-avions Amiral Kuznetsov, qui avait à son bord un groupe de 24 avions multi-rôle ; des SU-33 et des MIG-29 KUB, 4 Sukhoi Su-25UTG/UBP, et 16 hélicoptères de lutte anti-sous-marine Kamov Ka-27PLO. Le porte-avions Amiral Kouznetsov est armé de12 lance-missiles mer-mer P-700 Granit, dont la vitesse est Mach 2,5 et avec une portée de 625 km. Nettement supérieurs aux missiles mer-mer RGM-84 Harpoon (vitesse 864 km/h, portée 125 km) dont étaient équipés les destroyers et les frégates de l’escorter américaine au sein de la Task Force 502. Le Kuznetsov était escorté par le destroyer Amiral Ciabanenko et la frégate lance-missile Ladnâi. Pendant 40 jours, le groupe naval américain a tenté, à l’abri d’un intense brouillage radar, de s’ouvrir un passage vers la côte syrienne en contournant dispositif russe, mais en vain. Cette première phase a pris fin avec le retrait de théâtre des opérations des deux groupes, formés autour du porte-avions américain.

Mais les Américains n’avaient pas renoncé pour autant, et en cette partie de la Méditerranée, au large des côtes syriennes, la Sixième Flotte avait maintenu une patrouille de trois destroyers de classe Arleigh Burke, armés de 110 missiles de croisière BGM-109 (Tactical Tomahawk) avec un rayon d’action de 1600 km, conçu pour attaquer des cibles terrestres. C’est la raison pour laquelle, dans la période de Janvier au 4 Février 2013, le croiseur Moscova, le destroyer Severomorsk, le destroyer Smetlivâi (armé de missiles mer-mer Uran, de performances similaires aux missiles RGM-84 Harpoon américains) et la frégate Yaroslav furent utilisés dans des exercices pour des combats en Méditerranée, au large de la côte de la Syrie. Participèrent également à ces exercices les navires amphibie Saratov, Azov, Kaliningrad et Aleksandr Shabalin, ainsi que des avions de patrouille maritime à large rayon d’action et des bombardiers stratégiques de la 4ème armée aérienne russe.
http://www.algerie1.com/passerelle/la-vraie-bataille-pour-la-syrie-celle-dont-les-medias-ne-vous-parleront-jamais/

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 20:29
Soro dit avoir sauvé la vie à Gbagbo, des mensonges selon Dacoury-Tabley.

Parlant du fondateur du Front populaire ivoirien, l’ex-gouverneur de la Bceao a tenu à rétablir la vérité sur les propos tenus par Guillaume Soro qui soutenait qu’il avait sauvé la vie à Gbagbo lors de son arrestation le 11 avril 2011. «Je voudrais commencer en vous parlant brièvement des circonstances de notre arrestation. Nous étions avec le président Gbagbo à la résidence du Chef de l’Etat. J’ai vécu en compagnie du président la semaine de bombardement intense de sa résidence. Je ne parlerai pas de Bunker parce que ce terme ne peut s’appliquer à cette résidence ordinaire qui a juste un sous-sol tout aussi ordinaire… Les obus, les bombes incendiaires et autres projectiles déversés sur la résidence n’étaient pas des munitions de pacotilles et encore moins des balles à blanc. C’étaient de vraies munitions lancées pour détruire la résidence et tuer aveuglement le président Gbagbo, sa famille, ses enfants, ses petits-enfants, ses amis, ses collaborateurs et tout le petit personnel de la résidence. Et quand j’entends quelqu’un [Soro, ndlr] dire que c’est lui qui a donné des instructions pour que Gbagbo ne soit pas tué le 11 avril 2011, je voudrais demander s’il avait aussi donné ces mêmes instructions aux obus et aux bombes incendiaires et aux gaz tirés sur cette résidence ? En effet, aucun être humain ne peut se prévaloir d’avoir évité la mort au président. Seul Dieu a sauvé Gbagbo Laurent et certains de ceux qui étaient avec lui dans cette résidence. Tout a été mis en œuvre pour que personne n’en sorte vivant», a rectifié Dacoury-Tabley.Philippe-Henri-Dacoury-Tabley
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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 12:21

Le Front populaire ivoirien (FPI, de l'ex président Laurent Gbagbo), décapité à l'issue de la crise post-électorale de 2010-2011 se réorganise avec la reprise en main du parti par son président statutaire Pascal Affi N'guessan, récemment mis en liberté provisoire en même temps qu'une douzaine d'autres personnalités de l'ancien régime.

"Sous la supervision du Comité de Contrôle du parti, la cérémonie de passation des charges entre Miaka Ouretto (président intérimaire) et Pascal Affi N'guessan (président statutaire) se déroulera le samedi 7 septembre 2013", annonce un communiqué de la direction du parti transmis lundi à Xinhua.

De même, avant cette cérémonie, Laurent Akoun reprendra mercredi des mains de son intérimaire Richard Kodjo, les charges de secrétaire général.

La reprise en main "solennelle" des rênes du parti par Pascal Affi N'guessan sera précédée par une réunion du comité central du FPI qui "entendra et appréciera" le rapport d'activités de la direction intérimaire mise en place en juillet 2011.

Le 5 août, 12 personnalités du FPI dont le président Pascal Affi N'guessan et le 1er vice-président Aboudrahamane Sangaré ont été mises en liberté provisoire par la justice ivoirienne, dans un souci d'apaisement de la vie politique nationale en vue de la réconciliation nationale.

A la chute de Laurent Gbagbo, le 11 avril 2011, plusieurs hautes personnalités civiles et militaires du régime et des responsables du FPI ont été mis aux arrêts, certains autres se sont exilés dans les pays de la sous-région.

Tout comme Laurent Gbagbo, détenu à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, les personnalités en détention en Côte d'Ivoire sont poursuivies pour leur rôle supposé dans la crise post-électorale de 2010-2011 qui a fait au moins 3 000 morts, selon des chiffres officiels.

Environ 80 personnes attendent d'être jugées en Cour d'assises pour crimes économiques et crimes contre la sûreté de l'Etat, entre autres.Affi (30)

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 14:56
aboudramane sangaré
Sangaré Abou Drahamane aux femmes du FPI : « Aucune kalachnikov ne nous fera reculer »

Libéré le 5 août 2013 après de plus de 2 ans passés dans les geôles du régime Ouattara, Sangaré Abou Drahamane, vice-président du Fpi, a reçu, le jeudi 22 août dernier à sa résidence à Abidjan-Riviéra, une forte délégation de l’organisation des femmes du Front populaire ivoirien (OFFPI) que conduisait sa première responsable, Marie-Odette Lorougnon. Aux femmes venues lui manifester leur réconfort moral, Sangaré a rappelé avec force : « n’ayez aucun doute dans votre esprit. Les élections ont bel et bien été gagnées par Laurent Gbagbo. Tous les chantiers qu’on inaugure aujourd’hui sont la vision de Gbagbo». Il a souligné que la frilosité du pouvoir Ouattara est la preuve éloquente qu’il n’a pas la légitimité. Pour le fidèle compagnon du Président Gbagbo, les Ivoiriens qui ont choisi le FPI n’ont pas fait un mauvais choix. « Avec le FPI, on ne peut pas dire qu’on a vécu inutile. Nous avons un combat riche. Le FPI a apporté à la lutte des pays africains. La Côte d’Ivoire a donc besoin du FPI et le FPI a besoin de la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.

Avant de rappeler que ceux qui quittent le FPI avec la conviction de briser ce parti se font des illusions. « Quand le FPI te donne le maillot, tu peux te pavaner avec. Mais quand tu enlèves ce maillot, tu n’es plus rien et tu fais honte au maillot ». Pour l’ancien prisonnier politique, Laurent Gbagbo est entré par son combat dans l’histoire du monde au point qu’il n’appartient plus à la Côte d’Ivoire. Au dire de Sangaré, même déporté loin de sa terre natale, Gbagbo est très présent dans les cœurs des Ivoiriens. « Gbagbo est un absent qui est toujours présent. Parce qu’il a toujours donné à la Côte d’Ivoire et il n’a rien reçu ».

A l’endroit de ceux qui rêvent de faire disparaitre le FPI par la répression, Sangaré a prévenu : « aucune kalachnikov ne nous fera reculer ». Déterminé dans la lutte, il a révélé à ses hôtes que même en prison, il enregistrait de nouvelles adhésions. « En prison, on recrutait de nouveaux militants qui prenaient leurs cartes du FPI ». Pour finir, il a remercié ses camarades qui, selon lui, ont su entretenir le parti au moment où on cherchait à l’anéantir. « C’est vous que nous devons remercier, car vous nous avez donné un pont pour traverser ».

Pour la circonstance, Sangaré Abou Drahamane était entouré de l’ambassadeur Koné Boubakar, son co-détenu de Katiola, de l’ancien maire de Sassandra, Libi Koita et de Bibli Jonas. Au dire de Koné Boubakar, la détention de Sangaré a connu 3 étapes. « Nous étions détenus à la maison blanche qui n’en était pas une car nous étions entre les serpents, cafards et scorpions à Katiola. Après on nous a envoyé à la prison civile de la ville. Sangaré s’est retrouvé à la Pisam avant d’être envoyé à la Maca ».

Au nom des femmes du FPI, Agnès Monnet a dit : « nous t’apportons le soutien des femmes du FPI. C’est une grande joie d’être à ton domicile et nous sommes contentes de retrouver bien rajeuni. Nous avons appris toutes les péripéties que vous avez endurées. Mais de l’endroit où vous vous trouviez, vous étiez toujours dans nos cœurs. Nous avions toujours espoir car Laurent Gbagbo disait de vous que vous n’êtes pas de la dernière génération. Vous êtes revenu bien frais, vous êtes déjà purifié ». Pour Marie- Odette Lorougnon, ceux pensaient faire du mal au FPI, lui auront rendu service. « On vous a libérés au moment où on avait le plus besoin de vous ». Elle a présenté à Sangaré, Gisèle Dosso, l’épouse de Dosso Valy, ancien député PDCI de Kani qui a rejoint le FPI.

Benjamin Koré in Notre Voie

 

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 14:24
L’Ambassadeur Georges Ouégnin, ex-directeur du protocole d’Etat (1960-2001) est descendu dans les tréfonds de son cœur pour y puiser des souvenirs qu’Henri Konan Bédié n’aurait jamais souhaité entendre. Dans le courrier ci-dessous, il fait des révélations sur celui qui a présidé aux destinées des Ivoiriens, pendant 6 ans,.



L’Ambassadeur Georges Ouégnin a brisé son droit de réserve, pour la première fois pour mettre sur la place publique, des secrets d’Etat…
L’Ambassadeur Georges Ouégnin a brisé son droit de réserve, pour la première fois pour mettre sur la place publique, des secrets d’Etat…

Oui, j’ai demandé pardon au Président Bédié !

quand et pourquoi


Le mercredi 21 août 2013, à l’invitation du secrétaire général du Pdci-Rdr, j’ai assisté, en même temps que plusieurs autres cadres du parti fondé par le Président Félix Houphouët-Boigny, à une rencontre à la « Maison » du Parti. Rencontre au cours de laquelle, le secrétaire général a déclaré sa candidature à la présidence du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA).

En tant que militant du Pdci-Rda, c’était mon devoir de répondre à son invitation. Jusqu’à preuve du contraire, M. Djédjé Mady demeure le secrétaire général du Pdci-Rda. C’était donc mon devoir d’aller l’écouter. Faire cela, ce n’est trahir personne. Je suis militant du Pdci-Rda et je resterai militant du Pdci-Rda. Mais depuis cette rencontre, comme si j’avais commis un crime, il ne se passe pas un seul jour, sans que des journaux ne s’en prennent à ma personne.

Tantôt, on écrit que je suis un homme fini (has been), tantôt, on écrit que j’ai trahi le Président Bédié, voire le Président Alassane Ouattara. Comme s’il y avait un quelconque lien entre les affaires internes du Pdci-Rda et le Président de la République Alassane Ouattara. Je n’aurais jamais réagi devant ces écrits qui n’honorent même pas leurs auteurs qui parlent de démocratie en combattant curieusement la liberté d’expression et la pluralité de pensées, si l’un de ces journaux, dont les responsables ont absolument le droit de prendre fait et cause pour qui ils veulent, ne s’était pas attaqué, non pas à moi seul, mais aussi à ma famille. Ma famille qui est pour moi, quelque chose de sacré. Ce journal que je ne veux même pas nommer en raison de ses propres contradictions (chanter la démocratie et la tolérance en vouant aux gémonies tous ceux qui pensent autrement), a écrit, ce samedi 24 août en publiant à sa « Une », une photo de moi et de ma famille, que je serais rentré « en rébellion contre les présidents Bédié et Ouattara ». Et cela, du seul fait d’avoir assisté à la rencontre convoquée par le secrétaire général du Pdci-Rda. Je ne rentrerai pas dans le contenu de l’article qui est à lui seul la preuve que la Côte d’Ivoire va très mal, je m’attarderai simplement sur l’exposition de ma famille à la « Une » de ce journal avec une légende insultante : « Le jour où Ouegnin demandait « pardon » à Bédié pour que sa fille Yasmina soit candidate Pdci à Cocody aux législatives du 11 décembre 2012 ».

D’abord il ne s’agit pas des législatives du 11 décembre 2012, mais celles du 11 décembre 2011. Ensuite, je n’ai jamais été au domicile du Président Bédié avec toute ma famille pour le supplier d’accepter que ma fille Yasmina soit la candidate du Pdci. Ces photos ont été prises, le jour où, après l’investiture de Yasmina en qualité de candidate du Pdci, j’ai été, avec toute ma famille, rendre visite au Président Bédié, lequel avait été invité à prendre part à cette cérémonie mais n’a pu effectuer le déplacement pour des raisons d’agenda. Son directeur de cabinet, le Dr Lenissongui est témoin des propos que j’ai tenus ce jour-là.

D’où vient-il alors, que près de deux ans plus tard, on sorte une photo prise à l’occasion de cette rencontre, pour me présenter comme un ingrat, en écrivant que je suis allé demander pardon au Président Bédié pour qu’il accepte de faire de ma fille, la candidate du Pdci ? Quelles sont les motivations réelles d’une telle action ? Que veut-on démontrer ?

Je vais faire un aveu et désormais, ce sera ainsi, chaque fois qu’on s’en prendra indirectement ou directement à ma famille. Oui, c’est vrai, je l’avoue. Oui, je le reconnais. J’ai demandé pardon au président Bédié. C’était la seule fois de ma vie que je le faisais. Mais ce n’était pas pour qu’il accepte de faire de ma fille la candidate du Pdci-Rda aux législatives de 2011 à Cocody. La seule fois de ma vie où j’ai demandé pardon au Président Bédié, c’était le mardi 21 décembre 1999. Ce jour-là, il était encore le Président de la République de Côte d’Ivoire et je l’ai trouvé dans sa chambre. Il préparait le message qu’il devait adresser le lendemain à la Nation, à l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire. Je me suis mis à genoux, je dis bien, à genoux devant le Président Bédié, il ne peut démentir ce que je dis aujourd’hui. Je lui ai tenu les pieds, le suppliant presque, pour lui dire : M. le Président, libérez les dirigeants du RDR, Henriette Diabaté, Hamed Bakayoko et tous les autres que vous avez fait emprisonner en novembre 1999, à la suite d’une manifestation organisée pour réclamer des réformes démocratiques en vue des élections de 2000. Je lui ai dit : faites comme le Président Houphouët-Boigny, profitez de votre passage devant l’Assemblée nationale à l’occasion de votre message à la nation, pour libérer, devant le peuple de Côte d’Ivoire, tous ces dirigeants du Rdr. Vous leur diriez, bientôt c’est la fête de noël, bientôt c’est la Tabaski (cette année-là, ces fêtes coïncidaient presque), bientôt, c’est l’an 2000, le nouveau millénaire. Profitez de cela M. le Président et dites-leur, rentrez chez vous, allez retrouver vos familles, on va travailler tous ensemble pour la Côte d’Ivoire, notre patrie commune.

Le Président Bédié m’a dit textuellement : « Non, non, tu vas voir ce que je vais faire… » Et je lui ai dit, toujours à genoux devant lui : non, M. le Président, votre image est à terre, et en Côte d’Ivoire et à travers le monde ; vous devez vous ressaisir. Franchement, si vous faites ce geste, vous rentrerez dans l’histoire. C’est ce que le Président Houphouët-Boigny a fait quand il a libéré les prisonniers de Yamoussoukro. Il les a amenés à l’Assemblée et il a dit : « nous avons commencé à construire la Côte d’Ivoire, allez, rentrez chez vous et mettez votre pierre dans cette construction… »Le Président Bédié m’a, de nouveau, répondu : « Oui, oui, tu vas voir mon discours… »La suite, on la connaît…et je n’en dirai pas plus ! Je reconnais donc que là, je lui ai demandé pardon, Dieu m’en est témoin. Et il est témoin que, en novembre 2011, lorsque je lui ai rendu visite avec toute ma famille, ce n’était pas pour le supplier de faire de ma fille la candidate du Pdci.

Si mes supplications avaient de l’effet sur M. Henri Konan Bédié, il n’y aurait jamais eu le 24 décembre 1999 et la Côte d’Ivoire aurait fait l’économie de toutes les meurtrissures, toutes les haines, toutes les fractures, tout le sang du peuple ivoirien versé inutilement depuis la disparition du père fondateur, Félix Houphouët-Boigny. Je n’en dirai pas plus... Maintenant, si ceux qui se sont érigés en propriétaires de la Côte d’Ivoire, veulent que je parle d’autres choses, s’ils veulent que je mette fin au devoir de réserve que je me suis imposé sans discontinuité depuis la mort du Président Houphouët-Boigny, alors, je les invite à continuer à s’attaquer à ma famille… Si on veut s’en prendre à moi seul, Georges Ouegnin, me livrer à la vindicte populaire au simple motif que j’ai participé à une rencontre sur invitation du secrétaire général du Pdci-Rda, cela ne me pose aucun problème.Mais si on s’en prend aussi à ma famille en publiant des photos sur lesquelles je suis avec mon épouse et mes enfants, et légendées de façon insultante, alors les commanditaires en assumeront toutes les conséquences… J’ai servi avec affection, loyauté et dévouement, pendant plus de 40 ans, la Côte d’Ivoire.

D’abord avec le Président Houphouët-Boigny, jusqu’à sa disparition, puis avec le président Henri Konan Bédié, jusqu’à son départ du pouvoir, puis avec le général Guéi et enfin, avec le président Gbagbo… Je n’accepterai pas que, sous la dictée, un journaliste qui vient à peine de naître et qui ne sait pas le millième de ce que je sais sur l’histoire de la Côte d’Ivoire et celle de ceux qui y font maintenant la pluie et le beau temps, écrive que j’ai trahi. Cela est inacceptable. Je n’ai jamais trahi, ni la Côte d’Ivoire, ni aucun Ivoirien et jamais je ne le ferai. Personne ne peut mettre en doute ma loyauté vis-à-vis de ce pays et mon dévouement vis-à-vis de ses chefs d’Etat que j’ai servis, successivement. Jusqu’à nouvel ordre, le Pdci signifie Parti « Démocratique » de Côte d’Ivoire. D’où vient-il alors que dans un parti démocratique, on veuille instaurer la pensée unique en crucifiant tous ceux qui expriment des idées contraires ?



Georges Ouegnin. Ambassadeur.



Source : Soir info
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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 22:27

/  FAITS ET ANALYSE

25 Octobre 2000, monsieur Laurent GBAGBO est proclamé vainqueur  de l’élection présidentielle par la Commission Nationale Electorale (CNE) avec près de 59 % de voix confirmée par la cours suprême. Cette élection s’est déroulée  sous le régime militaire dirigé par le Général  GUEI Robert, auteur du coup d’Etat du 24 Décembre 1999.

Dans la nuit du 18 au 19 Septembre 2002, alors que le président Laurent GBAGBO est en visite officielle en Italie, une tentative de coup d’état muée en rébellion armée dont la direction est revendiquée par Guillaume Soro divise le pays en deux.                                                                                                           

Le président de la République, Son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO, fervent démocrate, père du multipartisme en Côte d’Ivoire  et homme de paix, propose à la rébellion armée des négociations pour sortir le pays de l’impasse.                                                                                                                            Ces multiples négociations aboutissent à la signature de différents Accords : Lomé I et II,   Linas-Marcoussis,  Accra I, II et III,  Pretoria I et II et de Ouagadougou I, II, III et IV.                           

A l’issue de ces différents accords, des décisions importantes sont prises, notamment :                                                 

 A- pour le gouvernement légal :                                    

1-       la réforme de l’organe chargé d’organiser les élections en Côte d’Ivoire, la Commission Electorale Indépendante  (CEI) en y intégrant majoritairement les représentants de la rébellion et des Partis politiques de l’opposition signataires des Accords de Linas Marcoussis ;

2-       la réintégration, avec rappel de solde, des éléments des Forces de Défense et de Sécurité, déserteurs et membres de la rébellion ;

3- l’intégration dans l’Armée Nationale de Côte d’Ivoire  des combattants de la rébellion ;

4- la formation d’un gouvernement de réconciliation nationale ayant en son sein des représentants de la rébellion et ceux des Partis Politiques signataires des Accords de Linas-Marcoussis;

5- La prise d’une décision présidentielle par l’usage de l’article 48 de la constitution ivoirienne  afin de permettre à messieurs Alassane Dramane OUATTARA  et Henri KONAN Bédié d’être candidats à titre exceptionnel à l’élection présidentielle de sortie de crise.

Pour sauver la Paix, le président Laurent GBAGBO a satisfait à toutes les exigences de la rébellion.

                                                                                                                                                                                                                                                                      B-pour la rébellion  dirigée par SORO Guillaume :

Les Accords  de Linas-Marcoussis ont retenu essentiellement comme charges, l’arrêt des combats et le désarmement des combattants. Cette unique exigence n’a malheureusement pas été satisfaite par les rebelles, malgré les différentes résolutions de l’ONU.

La communauté dite internationale, sous la houlette de monsieur Nicolas SARKOZY, alors président de la République française , au lieu d’obliger les rebelles à désarmer, a plutôt contraint le président Laurent GBAGBO à organiser l’ élection présidentielle dans une Côte d’Ivoire coupée en deux, en violation de l’article 38  de la Constitution du pays.                                                                                                                                                                                       

L’élection présidentielle  s’est sont donc tenue  le   31 Octobre 2010 pour le premier tour  et le  28 Novembre 2010 pour le  second tour.

Le Conseil Constitutionnel, seul juge des élections en Côte d’Ivoire,  comme le stipulent les articles 88 et 94 de la Constitution ivoirienne, en sa séance solennelle du 3 décembre 2010, par l’arrêt n° CI-210-EP-34/O3-12/CC/SG portant proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle 2010, a déclaré le candidat Laurent GBAGBO élu avec 51,45 % des voix.

Le Samedi 4 décembre 2010, Le président élu prête serment dans la ferveur populaire.

Le Lundi 11 Avril 2011, le président Laurent GBAGBO, démocratiquement réélu est renversé et enlevé, suite à des massacres d’innocents à travers tout le pays et particulièrement aux alentours de la résidence du chef de l’Etat. Les ivoiriens subissent, dans une rare violence meurtrière, le coup d’Etat perpétré par l’armée française de Nicolas SARKHOZY, les forces de l’ONU et les mercenaires de la sous région appuyés par les rebelles de messieurs Ouattara et SORO.                               

Depuis ce jour, la Côte d’Ivoire est devenue un grand bagne, en plus d’être un espace de grande insécurité. Les arrestations arbitraires, les tortures de toutes sortes, les  emprisonnements systématiques et les exécutions extra judiciaires sont devenus le lot quotidien  des ivoiriens en général et des partisans du Président Laurent GBAGBO ou supposés, en particulier.

 

Les forces internationales coalisées qui ont renversé le régime du Président Laurent Gbagbo, l’ont enlevé et livré aux rebelles de M. Ouattara. Le régime Ouattara, l’a embastillé pendant huit (08) mois à Korhogo dans des conditions inhumaines, sans aucune procédure judiciaire, avant d’organiser de façon rocambolesque sa déportation à La Haye avec le soutien de la communauté internationale menée par monsieur Nicolas Sarkozy. Son épouse, l’honorable Simone Ehivet GBAGBO, député et présidente du groupe parlementaire FPI, son fils Michel Gbagbo, enseignant à l’université, ainsi que de nombreux collaborateurs et de responsables du FPI, notamment, le Président Pascal AFFI N’GUESSAN, le Premier Ministre Aké N’GBO, le Vice-président Aboudrahamane SANGARE, le Secrétaire Général Laurent AKOUN, le Ministre DOUATI Alphonse, sans oublier des membres de la société civile et des syndicalistes parmi lesquels, madame Généviève Bro GREGBE, monsieur Mahan Gahé, pour ne citer que les plus connus. Des militaires, tous grades confondus sont embastillés sans le moindre jugement. C’est le règne des cerbères qui gardent des milliers de prisonniers politiques, civils et militaires.

Le dernier prisonnier en date est  le responsable de la jeunesse  du FPI, KOUA Justin, enlevé brutalement par les FRCI, le vendredi 07 juin 2013 à 19 H, au siège provisoire du parti. Le régime Ouattara a fait de la Côte d’Ivoire un Etat de non droit où pullulent de nombreuses prisons officieuses remplies de personnes innocentes, arrêtées arbitrairement. Des domiciles d’opposants emprisonnés ou contraints à l’exil, ainsi que d’autres locaux privés sont transformés en cachots de torture : au nombre de ces cachots, les résidences de messieurs AFFI N’GUESSAN et Marcel GOSSIO,  le village  de la liberté-Yopougon, propriété du FPI etc.

La justice effraie plus qu’elle ne rassure. Ainsi, le non respect de la présomption d’innocence, la fabrication de chefs d’accusation après coup, la détention prolongée des détenus sans jugement, les souffrances physiques, morales et autres humiliations infligées aux prisonniers, les demandes de rançons font partie du mode opératoire des appareils judiciaire et sécuritaire du régime installé au pouvoir en Côte d’Ivoire dans le sang et les crimes de toutes sortes. Pendant ce temps,  les pro-Ouattara qui ont été épinglés dans  les rapports de la commission d’enquête nationale et ceux des ONG de défense des droits de l’homme, ne sont pas inquiétés. Ils sont même promus à des postes de responsabilité civile et militaire.

Le tango de la justice ivoirienne qui, pour les mêmes chefs d’accusation fabriqués, libère provisoirement certains détenus et garde d’autres dans les liens de la détention, ainsi que la déportation du Président Laurent GBAGBO à la Haye et les différentes audiences qui s’y  déroulent  démontrent clairement que tout ceci procède du faux, du mensonge et de la forfaiture. Ainsi, à la CPI, l’accusation incarnée par la procureure Fatou BENSOUDA, après deux ans d’enquête et d’importantes sommes d’argent englouties, a été incapable de fournir la moindre preuve à même de convaincre les juges de la Chambre préliminaire I qui, dans leur majorité, ont été éclairés et édifiés par le travail colossal abattu par la défense dirigée avec brio par Me Emmanuel ALTIT.

En effet, la défense a relevé à la face du monde le montage grossier, mensonger des charges retenues contre le président Laurent GBAGBO, le véritable vainqueur de l’élection présidentielle du 28 Novembre 2010. Le président Laurent GBAGBO est à La Haye, non pas parce qu’il a commis les prétendus crimes dont on l’accuse, mais parce qu’il a vaincu démocratiquement le candidat ami et protégé de Nicolas SARKOZY et de la communauté dite internationale. C’est donc pour des raisons purement politiques qu’il est détenu à La Haye.

Il s’impose alors d’en tirer l’unique conclusion logique qui se résume en la relaxe pure et simple des personnes arbitrairement soumises à des traitements inhumains sans aucune raison.

II / POSITION

Aussi, le Front Populaire Ivoirien exige t-il :

Ø    Que  la CPI  tire courageusement la conséquence logique de sa décision du 03 juin 2013 portant ajournement du procès de  confirmation des charges contre le président Laurent GBAGO ;

Ø   La libération immédiate et sans conditions du Président Laurent Gbagbo;

Ø   La libération immédiate et sans conditions des prisonniers politiques, civils et militaires détenus arbitrairement dans les prisons et sites privés disséminés sur l’ensemble du territoire ;

Ø  Le retour apaisé de tous les exilés

Ø  Le Front Populaire Ivoirien reste convaincu que seul  le retour du Président Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire est l’unique voie de réconciliation des Ivoiriens pour l’instauration d’une paix durable;

Ø  Le FPI invite par conséquent   l’UA, l’UE, la France, les USA, la Chine, la Russie et toutes les personnes et institutions éprises de paix à œuvrer pour la libération immédiate du président Laurent GBAGBO.

 

Fait à Abidjan, le25 août 2013

Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole

Dr Kodjo Richard


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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 15:46



MANIFESTATION DES INDIGNÉS DE CÔTE D'IVOIRE CONTRE LA VIE CHÈRE A LA PLACE CP1 DE YOPOUGON! LA POLICE BOUCLE LA PLACE CP1!
"Les policiers nous ont dit qu'on vendait la viande de porc sur la place CP1, donc ils sont là pour manger du porc avec plusieurs cargos. Nous pensons que le ministère de l'intérieur ne joue pas franc jeux" Porte- parole de la coalition des indignés de Côte d’Ivoire à la place CP1 de Yopougon.

Moi Djimi Dilanaud, je me demande encore pendant combien de temps ces forces répressives vont-elles continuer de boucler et d'empêcher les manifestations publiques. Pourquoi Allassane Dramane Ouattara a-t-il si peur des manifestations sur la place publique même pour parler de nos ventres qui crient famine et non politique? La vie devient de plus en plus difficile. Cette situation est liée essentiellement à la flambée des prix des denrées de première nécessité sur les marchés.
Voici ce que dit à ce propos le coordonnateur national de CICI, Samba David, qui a effectué une visite guidée, le mardi 30 juillet 2013, au marché Gouro de Yopougon.
Constat : les coûts de plusieurs denrées connaissent des hausses. Le Kg de sucre est passé par exemple de 700 à 750 FCFA, le kg de viande de 1800 à 2300 FCFA, la bouteille de gaz B6 de 1800 à 2500 FCFA... « Les produits viviers sont devenus très chers. Se soigner dans nos hôpitaux publics révèle du miracle. Se loger à moindre coût est devenu un luxe ; et se scolariser est réservé à une certaine classe. De même qu’au niveau du transport. Pendant ce temps, les produits des paysans sont achetés à vils prix. Les commerçants ne vivent plus de leurs revenus. Le chômage augmente. Les salaires stagnent et le Smig qui est de 60.000 n’a pas été relevé depuis 15 ans», a décrié Samba David. Avant d’ajouter que le transport des marchandises vers les villes souffre de plus en plus du racket et de l’état désastreux des routes. Selon la Banque mondiale, la Côte d’Ivoire perd 300 milliards FCFA. En même temps, le prix des denrées importées augmente en raison d’activités de spéculation de la part de cartels d’importateurs, de la cherté de la manutention au Port Autonome d’Abidjan (PAA) et de la corruption des services.
N'a-t-il pas dit lors de la campagne électorale qu'il a et qu'il est la solution à tout ça? Allassane Dramane Ouattara ne supporte pas la contestation et voit derrière chaque manifestation qui lui est défavorable un danger pour son pouvoir autoritaire et dictatorial. Ne nous disait-il pas au vu de ses affiches de campagne que le prix de l’huile en bouteille qui était vendue à 800 frs ne doit pas être mis sur le fait de la guerre. Alors qu’il est au pouvoir et que nous ne sommes plus en guerre, la rébellion aussi n’existant plus officiellement, cette même bouteille d’huile est vendue après son arrivée au pouvoir à 1050 frs et vendue aujourd’hui à 930 frs. Que signifie donc cette hausse là où l’on devait s’attendre à une baisse drastique de ces prix avec ADO SOLUTIONS?
Kg du Cacao sous problèmes de Gbagbo: 1000 Frs ou 1100 Frs
Kg du Cacao sous solutions de Dramane Ouattara: 725 Frs ou 250 Frs
Kg du Café sous problèmes de Gbagbo: 600 Frs ou 700 Frs
Kg du Café sous solutions de Dramane Ouattara: 200 Frs ou 175 Frs
Kg d'hévéa sous Problèmes de Gbagbo: 1200 Frs ou 800 Frs
Kg d'hévéa sous solutions de Dramane Ouattara: 400 ou 300 Frs
Kg d'anacarde sous problèmes de Gbagbo: 400Frs ou 250
Kg d'anacarde sous solution de Dramane Ouattara: 50 Frs ou 100 Frs
Kg du coton sous problème de Gbagbo: 200 Frs ou 400 Frs
Kg du coton sous solutions de Dramane Ouattara: 75 Frs ou 50 Frs ou à crédit.
Kg de sucre sous problème de Gbagbo : 700 Frs
Kg de sucre sous solutions de Dramane Ouattara : 750 Frs
Kg de viande sous problème de Gbagbo : 1800 Frs
Kg de viande sous solutions de Dramane Ouattara : 2300 Frs
La bouteille de gaz B6 sous problème de Gbagbo : 1800 Frs
La bouteille de gaz sous solutions de Dramane Ouattara: 2500 Frs
Bouteille d’huile sous problèmes de Gbagbo : 800 frs
Bouteille d’huile sous solutions de Dramane Ouattara : 1050 Frs puis 930 Frs
Concours dans l'administration publique ivoirienne et maintien des employés dans leur entreprise, nominations aux postes des DG des régies financières par appel à candidatures, nominations aux postes de responsabilité dans l'Administration publique sans appartenance régionale ni ethnique et appels d'offres pour l'attribution des marchés publics sous problèmes de Gbagbo.

Suppressions de plusieurs concours, Recrutements clandestins dans plusieurs structures de l'Etat, pertes d'emplois et renvois massifs dans plusieurs sociétés d'Etats et entreprises privées, nominations aux postes de responsabilité par appartenance politiques, régionales et par rattrapage ethnique et attributions de marchés publics de gré à gré sous solutions de Dramane Ouattara.

DAMANE OUATTARA! LES IVOIRIENS T'ONT FAIT QUOI?

Le démon-crate DAO qui refuse toute contradiction et contestation depuis son installation au pouvoir par la force des bombes démocratiques doit savoir que son jeu de cache-cache avec la liberté de manifester va très bientôt prendre fin! Je dis très bientôt!

GBAGBO KAFISSA PARCE QUE PROBLEMES D’HIER EST MIEUX QUE SOLUTIONS D’AUJOURD’HUI !woody3

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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 14:18

La rencontre du 23 Août entre le président  AFFI du F.P.I et FOLOGO du R.P.P nous donne à dose homéopatique ses sécrets.

 

Parti au domicile de son homologue du F.P.I lui présenter ses encouragements et son amour fraternel ,FOLOGO n'a pas manqué de partager son inquiétude face aux graves menaces sur l'équilibre branlant de la réconciliation nationale que fait planer l'entêtement de BEDIE à prendre les commandes du P.D.C.I malgré le fait que les textes du parti plus que cinquantenaire l'élimine.Pour FOLOGO,si N'zueba réussit son hold-up à la tête du P.D.C.I  et qu'il désire être candidat à la présidentielle de 2015,il aura le soutien du R.D.R et de son leader qui a un problème avec le respect de la loi fondamentale de la Côte D'Ivoire.En effet selon l'interlocuteur du président  AFFI ,depuis 1993 OUATTARA a toujours montré son hostilité à accepter  les articles de lka constitution qui ne lui son pas favorable et pour preuve en 1993,OUATTARA s'est opposé à l'application de l'article 11;en 2002 pour contourner l'article 35 de la constitution qui le rend inélligible il suscite un rébellion mieux OUATTARA fît cadeau du poste de président  de l'assemblée nationale à SORO KIGBAFORI GUILLAUME en violation de l'article 40 de la constitution sur le critère de l'âge .

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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 14:02

Quand ils font la guerre, elle devient mondiale
Quand ils ont une opinion, elle est internationale
Quand ils s'expriment, ils le font au nom de la communauté internationale
Quant à leurs valeurs, elles sont universelles
Quand ils ont une crise, elle est mondiale
Quand ils parlent d'eux c'est une langue. Quand ce sont les autres c'est
forcément des dialectes
Leurs fruits ont des noms du genre pomme, abricots, pèche. Ceux de
l'Afrique sont exotiques, sauvages
Ils se sont installés de force en Amérique, au Canada, en Australie, en
Afrique du sud, Amérique du sud et ils nous traitent d'immigrés. Lamentable !
Quand ils viennent chez nous ils disent qu'ils sont expatriés et quand
c'est nous qui allons chez eux ils nous traitent d'immigrés. Mesquinerie quand tu nous tiens.
Ils disent d'eux qu'ils sont en situation irrégulière dans un autre
pays. Et quand il s'agit de nous, ils disent que nous sommes des sans papiers, des clandestins.
Quand ils s'attaquent à l'occupant, ce sont des résistants. Et quand nous on s'attaque à l'occupant, nous sommes des terroristes
Ils sont les seuls à pouvoir se doter des bombes atomiques et bizarrement ce sont les autres qui fabriquent et utilisent des "armes de destruction massive"
Quand ils les combattaient il y'a à peine un demi siècle, on les appelait homosexuel, pédé. Et maintenant qu'ils les acceptent on les appelle gays.
Quand ils croient en Dieu, le monde entier doit croire en Dieu. Et maintenant qu'ils n'y croient plus, le monde entier devrait accepter le mariage entre deux personnes de même sexe. Croire en Dieu est devenu ringard’
Quand on se met tout nu avec un cache sexe, nous sommes des sauvages. Et quand c'est eux, ils font du naturisme
Quand nos femmes se voilent, nous les opprimons. Quand les leurs se voilent, ce sont des saintes (soeurs)
Quand ils y régnaient, on parlait de noble art. Depuis que nous les terrassons, on parle de boxe tout court
Quand ils nous prêtent de l'argent, ils parlent d'aide. Quand ils viennent nous piller, ils nous parlent de partenariat ou d'accord de partenariat
Quand ce sont eux qui le font, c'est du lobbying. Quand c'est nous, c'est de la corruption, du clientélisme, du népotisme
Ils traitent nos scarifications (marque de reconnaissance ethnique) de sauvage. Aujourd'hui ils pratiquent le tatouage à outrance
Ils disent chez eux que la femme est plus libre, mais ils oublient que le corps de la femme se vend en vitrine à Amsterdam et aujourd'hui pour une pub de yaourt on a droit à un sein nu. Quel culot !!

Stanislas Sohobama1
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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 13:23

URGENT/CICR - BLE GOUDE. Je partage avec vous la lettre adressée jeudi 22 août 2013 par courrier électronique à M. Peter Maurer, Président du CICR.
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Monsieur le Président,

Je voudrais, par la présente, attirer votre attention sur la situation profondément préoccupante des prisonniers politiques en République de Côte d’Ivoire. L’action et le dévouement reconnus du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) m’ont convaincu de m’adresser une nouvelle fois à votre organisation.

Selon des renseignements dignes de foi, M. Charles Blé Goudé, extradé le 17 janvier 2013 d’Accra (Ghana) vers Abidjan, n’est pas traité avec dignité et humanité, contrairement aux règles et normes humanitaires internationales. L’ancien ministre est actuellement incarcéré dans les sous-sols de la DST. Gardé au secret et privé de soin, son état de santé s’est sérieusement dégradé dans la nuit de lundi à mardi dernier.

Monsieur le Président,

Par les Conventions de Genève, le CICR a reçu le mandat de la communauté internationale de visiter les prisonniers. C’est pourquoi, les familles, et le peuple ivoirien en général, ont besoin de son aide afin d’être définitivement situés sur le traitement infligé aux détenus en lien avec la crise postélectorale de 2010/2011 (800 civils et militaires).

Votre institution est la mieux placée pour savoir les lieux de détention et les conditions de vie de toutes ces personnes arbitrairement et illégalement privées de liberté. J’exhorte le CICR à demander au Gouvernement de lui communiquer une liste officielle.

Conformément à vos procédures habituelles, je demeure persuadé que vous prendrez attache avec les autorités détentrices de M. Charles Blé Goudé et des autres prisonniers politiques. Des visites du CICR serait un bon moyen de recueillir des informations sur leur régime de détention et d’atténuer les inquiétudes des parents.

En vous remerciant par avance pour votre diligence et votre assistance,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mon profond respect.

M. Toussaint Alain
Ancien Conseiller du Président Laurent Gbagbo
E-mail : toussaint.alain@aol.com

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