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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 11:52


 Le chef de guerre, Amadé Ouérémi, chef de la milice burkinabè pro-Ouattara n’est pas du tout content de ses «employeurs» pour qui il dit avoir fait le sale boulot et qui ont décidé de le remercier «en le liquidant». Il les met en garde contre toute tentative d’aller jusqu’au bout de leur action. Le chef de la milice burkinabè pro-Ouattara, le tristement célèbre Amadé Ouérémi, rumine colère depuis quelques semaines, surtout depuis la rencontre qu’il a eue avec des responsables des Frci à Duekoué, le mercredi 3 octobre dernier. Il est de plus en plus question de le «chasser» du mont Peko où il a établi sa base. Et où il règne en maitre absolu sur la forêt et même sur la région. «Si je dois tomber, je tombe avec tout le monde», a lâché le chef de guerre burkinabè, devant les émissaires du régime. Dénonçant l’ingratitude de ces derniers. Après qu’il a combattu pour l’installation de Ouattara, ils ont décidé de le remercier par l’ingratitude, estime-t-il. Amadé Ouérémi a affirmé avoir combattu aux côtés des Frci dans plusieurs localités. Notamment à Duekoué, Bangolo, Daloa, San Pedro, Tabou et encore Taï. Amadé se sent trahi par ses alliés d’hier, après s’être sacrifié pour eux. Tous les rapports des organisations nationales et internationales des droits de l’Homme ont incriminé ce chef de guerre sur qui pèsent de lourds soupçons de crimes contre l’humanité, avec notamment le massacre des Wê en fin mars 2011, lors de la crise postélectorale. Ce redoutable chef de guerre burkinabè qui a combattu pour le compte d’Alassane Ouattara n’a toujours pas rendu son arsenal de guerre, deux ans pratiquement après la fin de la crise. Sous la pression des organisations nationales et internationales, le régime Ouattara a décidé, malgré lui, de prendre ses distances vis-à-vis d’un de ses mercenaires encore à la tête d’une milice qui le soutient. La nouvelle de son départ lui a été portée par une délégation des Frci, la semaine dernière. Un sentiment de trahison En retour, Amadé Oueremi, à en croire des sources proches du dossier, n’a pas du tout mâché ses mots et a craché ses vérités aux émissaires du régime. Il estime être trahi par les commandants Frci aux côtés desquels ses hommes et lui ont combattu durant la crise, avec la ferme assurance d’être récompensé. Aujourd’hui, ses alliés d’hier, pensent-ils, veulent le déposséder de tout et il ne compte pas se laisser faire. Amadé Ouérémi s’est offusqué aussi du fait qu’il soit de manière récurrente indexé par les organisations internationales des droits de l’Homme et l’Onu, alors qu’il a combattu avec des commandants Frci, pour le compte du régime. «Pourquoi c’est moi qui devrais payer pour tout ? Pourquoi c’est mon nom seul qui est dans la bouche de tout le monde. En tout cas, si je dois tomber, je ne tomberai pas seul», a clairement fait savoir le seigneur de guerre burkinabè, maitre de la forêt du mont Peko et ses environs où il a fait main basse sur les plantations de cacao d’autochtones et allochtones. En tout cas, il a clairement montré sa détermination à conserver ses acquis, en narguant à la limite les émissaires de l’Etat-major des Frci. A la question de savoir quand sera-til disposé à partir du Mont Péko, Amadé Ouérémi répond sans fioritures : «Après la récolte de cacao». Une réponse des plus évasives et imprécises dont se contenteront les hommes du Gl Soumaïla Bakayoko, certainement pour ne pas mécontenter l’allié d’hier.
                                                                                                                                  FRANCK TOTI

le nouveau courrier 10 octobre 2012

'le titre est de la rédaction de nadaudclement.over-blog.com

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 11:41

Dossier explosif – Alassane Ouattara a-t-il perdu la tête ? –Fatou Bensouda refuse son argent –Mathias Doué prépare un coup depuis Paris –Les dessous de l’arrestation de Koné Katina –La vérité sur le fameux rapport de l’Onu-Rfi Les informations en notre possession, si elles s’avèrent vraies, devraient jeter le froid dans le dos des partisans de l’actuel Chef de l’Etat ivoirien. En effet, le locataire du palais d’Abidjan-Plateau n’est plus serein depuis quelques temps. Il aurait même perdu la tête aux dires de certaines sources bien informées. Pour cause, la succession des évènements depuis la chute du régime de Gbagbo en Côte d’Ivoire. De la terreur de ses seigneurs de guerre dans l’ouest de la Côte d’ivoire aux attaques des positions des FRCI à Abidjan en passant par l’offensive des pro-Gbagbo de la diaspora, il y a matière à troubler le sommeil du président. Malgré ses nombreux voyages hors du pays et des repos « mérités » dans sa villa de Mougins, Alassane Ouattara ne parvient toujours pas à digérer le manque de courage de ses soldats qui, selon son entourage auraient dû se débarrasser de son rival Laurent Gbagbo, depuis son bunker de Cocody, ce lundi 11 avril 2011. Comme ce fut le cas avec le Général Robert Guei en septembre 2002. Devenu un squelette dans sa gorge, le cas Gbagbo embête énormément Abidjan et cela risque d’entacher durablement les nouvelles relations entre l’ancien directeur adjoint du FMI et ses amis Européens. Pratiquement lâché par la plupart de ses pairs africains (seul président à assister au 40e anniversaire du franc Cfa à Paris, une monnaie partagée par plus de 15 pays africains), Alassane Ouattara vient de prendre une douche froide de la part de la nouvelle procureur de la CPI (cour pénale internationale). La Gambienne, selon notre informateur qui est d’idéologie socialiste aurait été invitée à Mougins par Ouattara, courant août 2012 (au moment de son séjour privé autour du 20 août), juste avant le départ de celle-ci pour l’Afrique du sud où elle a pris part au 24e Congrès de l’International socialiste, tenu du 30 août au 1er septembre 2012. Congrès au cours duquel Laurent Gbagbo a été applaudi pendant 15 minutes après que ses amis socialistes aient regretté de ne l’avoir pas assez soutenu dans son combat contre l’impérialisme occidental. Bref. A Mougins, Alassane Ouattara aurait tenté de corrompre l’actuel procureur avec une mallette d’argent dont le contenu serait estimé à des centaines de millions d’Euros. Objectif, encourager la belle Gambienne à mieux attaquer l’ex président ivoirien, Laurent Gbagbo, actuellement détenu à la prison de Scheveningen près de la Haye. Malheureusement, Fatou Bensouda, chrétienne et consciente de ses responsabilités au sein de la Cour pénale internationale aurait opposé une fin de non recevoir. Arguant qu’elle ne pouvait en aucun cas mettre en doute sa crédibilité et celle de la CPI contre de l’argent. Cette attitude de celle qui était perçue par le pouvoir d’Abidjan comme une alliée aurait frustré le Chef de l’Etat ivoirien qui, pris de panique va multiplier des complots contre plusieurs proches de Laurent Gbagbo. On assistera en exécution d’un mandat d’arrêt international délivré par le régime Ouattara, à l’arrestation du porte parole de l’ex président ivoirien, Koné Katina à l’aéroport d’Accra à son retour de Johannesburg fin août (où il était allé négocier le retour du FPI au sein de la grande famille de l’international socialiste avant le Congrès). A l’arrestation de deux faux pro-Gbagbo au Ghana et la diffusion d’un rapport « confidentiel » des Experts de l’ONU qui accuse plusieurs cadres du FPI en exil, d’entretenir des relations avec les jihadistes du nord du Mali s’ils ne sont pas les financiers des déstabilisateurs du pouvoir d’Abidjan. Toujours dans sa panique, Ouattara après avoir ouvert le dossier sur l’assassinat du général Robert Guei aurait tenté d’enlever l’ancien Chef d’état-major Mathias Doué. Sait-il un peu plus sur cet assassinat ou bien est-il lui-aussi soupçonné de vouloir renverser l’actuel régime ? En tout cas selon une source bien introduite, Doué Mathias n’est plus en Côte d’Ivoire depuis le Week end dernier. Il serait à Paris en lieu sûr où il bénéficie de la protection des nouvelles autorités françaises. On peut s’imaginer la suite. Nous y reviendrons. Eventnews TV/ www.eventnewstv.tv

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 21:16

 

 

 

Nous informons l’opinion qu’un autre grand complot de fabrication de fausses preuves contre les exilés ivoiriens vient d’être dévoilé au Ghana, suite à l'arrestation d’un autre espion, un dénommé Tsikata Tao Prosper (auteur des affaires Colonel KATE et LIDA Kouassi), à la solde du régime d’Alassane Dramane Ouattara. Ce Tsikata, le cerveau du faux coup d'état, avait été mis à nu par le gouvernement Ghanéen qui a prouvé que les preuves brandies par ce dernier pour soutenir qu'une tentative de déstabilisation  en préparation depuis son territoire étaient fausses et fabriquées par le régime Ouattara.
 Le régime Ouattara a décidé de monter au créneau pour obtenir coûte que coûte des vidéos et éléments filmés, dans le but de justifier ses mandats d'arrêts  et obtenir aussi l'extradition du ministre Justin KONE Katinan actuellement en procès, et  l'arrestation , l'extradition d'autres exilés.
 Ouattara a  instruit son ambassadeur au Ghana, Ehui Bernard Koutouan, via le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko.
 L’ambassadeur Ehui Bernard, en vacances à Abidjan, est donc retourné  au Ghana.
 L’urgence de son retour à Accra l'a empêché d'y retourner avec son fils et assistant Ehui Félix, resté à Abidjan.
 Une fois de retour, l'ambassadeur Ehui Bernard Koutouan a son tour, activé un certain Kacou Daniel, ressortissant ivoirien vivant au Ghana depuis belle lurette, et espion à la solde du régime d’Abidjan.
 Ce dernier travaille à la Radio Locale AZIM, située à environ 10 km du camp de réfugiés d'Amping en partant d'Elubo (frontière Ivoiro Ghanéenne) vers Takoradi.
 L'espion Kacou Bernard, du fait de sa nationalité, a accès aux exilés ivoiriens qui ne se doutant de rien, discutent sereinement avec lui en lui faisant par de leur souhait de voir ADO et son régime chuter...
 Kacou Bernard en bon espion, les enregistre et les filme, à leur insu.
 Alertés, nos sources ont décidé de le suivre.
 Ce qui fut fait depuis un certain temps jusqu'à ce Jeudi 13 Septembre 2012, où, en compagnie de son patron Ghanéen, par ailleurs Directeur de la radio AZIM, ils ont été repérés à Accra. Ces deux individus ont effectué deux rencontres avec l'ambassadeur Ehui Koutouan dans les locaux de l'ambassade.
 La 1ère rencontre s'est tenue vers 10h. Après celle-ci, ils sont allés faire un retrait à la Bank BOA, à quelques encablures de l'ambassade, au quartier Ossou. Puis, nos deux espions sont retournés à l'ambassade aux environs de 12h, pour la seconde rencontre.
 Ces deux espions étaient à bord d'un véhicule 4X4 noir, double cabine immatriculé : GT 9921Z. Aussi, les numéros de téléphone de Kacou Daniel sont : 05 460 226 77 / 02 666 830.
 C'est le lieu d'indiquer aux frères et soeurs exilés de faire très attention dans leurs comportements et déclarations, et de ne pas trop parler et s'enorgueillir de ce qu'ils ne savent pas et ne font pas. Et surtout d'être très vigilants.

                                                                                                                                                                      Lavane Murphy

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 20:58

 



Profitant d’une visite à Ouagadougou fin septembre, Guillaume Soro a fait avancer le dossier des soldats burkinabés enrôlés durant la crise postélectorale

Les éléments burkinabés recrutés en 2011 par l’ex comzone Zakaria Koné avaient prêté main-forte aux Forces Républicaines de Cote d’Ivoire (FRCI) durant la crise postélectorale pour renverser Laurent Gbagbo. Depuis cette mission, ils n’ont reçu que 500 000 F CFA (762 euros), et non eu de cesse de dénoncer les promesses non tenues de recevoir 5.000.000 F CFA (7622 euro) par mois de frais de mobilisation en Cote d’Ivoire.

Selon nos sources, suite a l’intervention de Soro Guillaume, un accord a été trouvé au terme d’une rencontre houleuse a Bobo-Dioulasso, le 04 octobre, entre les 42 militaires concernés et Issiaka Ouattara ‘’Wattao’’ autre ancien comzone et commandant en second de la garde républicaine ivoirienne. Ce dernier s’est déplacé dans la seconde ville du Burkina Faso pour l’occasion. Les soldats pourraient recevoir leur argent le 12 octobre lors d’une nouvelle rencontre au Jardin 2000 de la capitale burkinabé. Ils devraient toucher chacun 7.000.000 F CFA (10 671 euro) pour être resté un mois et demi à Abidjan. Wattao leur a par ailleurs signifié qu’après ce règlement, ces soldats pourraient être mobilisés pour d’autres missions.

En revanche ces derniers ont promis de faire un ‘’scandale’’ au cas où ils ne recevraient rien à la date convenue. Une autre mutinerie et de nouveaux tirs en perspective dans la capitale burkinabé ?

Source : La lettre du continent
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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 20:24

Côte d'Ivoire: Déclaration suite aux accusations de l’ONU relayées par RFI
Claude Koimage gbagbo2udou.
Le 06 octobre 2012 par Correspondance particulière - RFI a publié en ce jour du 6 octobre 2012, un article intitulé « Côte d’Ivoire : un rapport de l’ONU riche en révélations » qui « … doit être débattu, dans les prochains jours, au Conseil de sécurité de l'ONU. Ce
rapport intermédiaire de 26 pages est explosif tant il paraît accablant pour les leaders pro-Gbagbo en exil en Afrique de l'Ouest… » On y lit « Le rapport dénonce un complot de la part des pro-Gbagbo ». « Toujours selon ce rapport, une connexion a été établie ces derniers mois entre ces exilés ivoiriens et la junte malienne, mais aussi avec les jihadistes d'Ansar Dine. L'objectif des militaires et des islamistes maliens étant de compromettre, à tout prix, les actions de la Cédéao et de son président en exercice, afin de stabiliser le Mali… »
Nous nous élevons contre de telles accusations très graves. Si des preuves existent pour montrer que le gouvernement Ouattara contourne l’embargo sur les armes, pour se procurer des munitions et autres moyens lourds de guerre, les accusations contre les pro-Gbagbo ne peuvent que relever d’un jeu d’équilibrisme comme c’est devenu la coutume d’observateurs sur la Côte d’Ivoire.
En effet, l’ONU peut bien pointer la mauvaise gouvernance du pouvoir Ouattara et toutes les dérives qui y sont associées, sans être obligée d’accabler par la même occasion le camp de Laurent Gbagbo. Déclarer sans en apporter des éléments, que des liens existent entre des partisans de Laurent Gbagbo et des jihadistes d'Ansar Dine, consiste à franchir un cran critique dans la diabolisation de Laurent Gbagbo.
Guillaume Soro avait déjà déclaré que « le FPI est un mouvement terroriste qu’il faut éradiquer ». Nous craignons fortement qu’il s’agisse, à travers ce rapport de l’ONU, - dans une tentation d’emballement -, d’aller dans le sens de Guillaume Soro, qui n’est pas inquiété malgré tout le sang des nombreuses victimes ivoiriennes qu’il porte sur les mains.
Par ailleurs, Laurent Gbagbo ayant fait de « la transition pacifique à la Démocratie » son crédo de lutte politique, nous affirmons ici avec la plus grande énergie ne pas nous reconnaître dans ce qui est injustement imputé à la logique de cet Homme de dialogue. Toutes les propositions de Laurent de 2002 au 11 avril 2011 vont dans le sens de l’apaisement de la Côte d’Ivoire. Il faut dire que la Côte d’Ivoire dont les populations souffrent dans leur chair ne peut se contenter de manœuvres périodiques de diversions.
Nous affirmons également ici que tous ceux agiraient au nom de Laurent Gbagbo, avec la violence politique, ne peuvent être reconnus dans la lutte pacifique que mène Laurent Gbagbo depuis plus de trente ans. La voie du dialogue et de la réconciliation avec tous les acteurs représentatifs est la logique dans laquelle nous nous inscrivons. Nous sollicitons l’ONU à appuyer cette voie avec toute l’objectivité que cela requiert.
Pour la Représentation du Porte-parole de Laurent Gbagbo Europe/Amérique,
Dr Claude KOUDOU

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 18:37

Criminels de guerre et nommés préfets de régions par Ouattara: Itinéraire de trois tueurs professionnels

Le 06 octobre 2012 par Correspondance particulière - Le salaire de la félonie et du crime : ainsi pourrait s’intituler l’histoire de Tuho Fozié, Messamba Koné et Ousmane Coulibaly alias Ben
Laden, qu’Alassane Dramane Ouattara a nommé préfets de régions, le 26 septembre 2012, respectivement à Bondoukou, Guiglo et San Pédro. L’itinéraire des trois chefs de guerre de Ouattara est jalonné d’insoutenables marres de sang des milliers d’Ivoiriens qu’ils ont massacrés. Au début de la rébellion le 19 septembre 2002 dont les plaies causées à la Côte d’Ivoire saignent encore, étaient ces trois tueurs professionnels, acolytes d’Ibrahim Coulibaly alias « I.B. », le chef de la mafieuse Cosa Nostra, le centre nerveux du dispositif des rebelles.
Pendant les préparatifs logistiques et opérationnels de la rébellion au Burkina Faso, sous l’égide de Jacques Chirac et de Blaise Compaoré, Tuho Fozié occupe « la villa 1023, au portail blanc », dans la « cité pavillonnaire » de Somgandé, un quartier situé au nord de Ouagadougou.
Dans un article intitulé « Côte d'Ivoire : le visage de la rébellion » publié par le quotidien français Le Monde, les journalistes Stephen Smith, Damien glez et Vincent Rigoulet situent la place de Tuho Fozié et Messamba Koné dans l’organigramme de la rébellion dont l’objectif est de renverser par les armes le régime constitutionnellement établi du président Laurent Gbagbo (1).
 « (…) Depuis, cette rébellion cache son visage politique. Elle veut renverser le pouvoir en place, mais fait accroire qu'elle n'a pas de chef, seulement des « porte-parole ». Le plus connu d'entre eux est le sergent-chef Tuho Fozié. Agé de 38 ans, Mandingue d'Odiénné, dans l'extrême nord-ouest de la Côte d'Ivoire, il était du putsch de Noël, puis dans la garde rapprochée du général Gueï. L'été 2000, lors de la grande scission entre frères d'armes, il échappe à l'arrestation et fuit à l'étranger. Il ne revient que pour participer au « coup de la Mercedes noire », ce qui lui vaut une condamnation par contumace à vingt ans de prison pour « abandon de poste, violation de consigne, atteinte à la sûreté de l'Etat, assassinat, tentative d'assassinat ». Le 1er octobre, onze jours après le début du soulèvement, c'est lui qui révèle le nom que finissent par se donner les rebelles : Mouvement patriotique de Côte d'Ivoire. C'est au nom du MPCI qu'il négocie avec les médiateurs ouest-africains. Mais il n'est qu'un porte-parole parmi d'autres. Qu'a-t-il en commun avec son alter ego à Korhogo, l'adjudant-chef Massamba Koné, ou avec le caporal Omar Diarrasouba, dit « Zaga-Zaga », les sergents-chefs Iréné Kablan et Souleymane Diomandé, surnommé « la Grenade » ? Il fait partie du premier cercle autour d'« IB », le chef de tous ces sous-officiers déserteurs au sein d'une organisation clandestine, la Cosa nostra. Celle-ci, basée à Ouagadougou, fournit le noyau organisationnel à l'insurrection. Grâce à un généreux bailleur de fonds, elle a recruté à tour de bras, d'abord dans les pays voisins, ensuite en Côte d'Ivoire. Elle a acheté des uniformes et des pataugas neufs, des armes en grande quantité. Elle a pourvu en numéraire des combattants payant cash… » (Le Monde, 11 octobre 2002).
Avant et après la partition de la Côte d’Ivoire avec les fonds du « généreux bailleur de fonds » dont Koné Zakaria a indiqué qu’il s’appelle Alassane Dramane Ouattara, Tuho Fozié et Messamba Koné prennent activement part aux meurtres et aux tueries massives de la rébellion : assassinats de Boga Doudou, Dalli Oblé, des danseuses d’Adjanou, massacres des dizaines de gendarmes et de leurs enfants à Bouaké, etc. Dans la région de Korhogo où ils étaient les fidèles lieutenants de Fofié Kouakou, Tuho Fozié et Messamba Koné planifient la mort par étouffement de plusieurs dizaines de partisans d’Ibrahim Coulibaly dans des containers, à la suite des contradictions au sein de la rébellion, et de bien d’autres crimes en tout genre. Jusqu’à ce jour, Ouattara continue de protéger Fofié Kouakou qui est identifié par le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies comme un criminel.
Quant à Ousmane Coulibaly, le surnom Ben Laden qu’il s’est donné indique clairement ses sympathies pour le fondamentalisme islamique et ses méthodes terroristes. On ne choisit pas son surnom par hasard. Il est un acteur permanent de tous les crimes de la rébellion depuis 2002. Lorsque la rébellion et son chef visible Soro Guigbafori Guillaume coupent la Côte d’Ivoire en deux, l’ouest du pays est placée sous la botte de fer de Ben Laden par ses maîtres occultes, entre 2002 et 2003. C’est sous son commandement direct que quatre véritables armées étrangères bukinabé s’installent et forment un Etat dans l’Etat dans cette vaste zone forestière du pays, à Taï, Bloléquin et Duékoué.
Amadé Ourémi est le plus connu des chefs de ces armées qui ont participé aux massacres des populations civiles aux côtés des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) d’Alassane Dramane Ouattara, à Duékoué notamment. Dans son rapport intitulé « Ils les ont tués comme si de rien n’était », Human rights watch (Hrw) est catégorique sur la question. « Amadé Ouérémi (couramment appelé « Amadé ») – Chef d’un groupe burkinabé puissamment armé dans la région du Mont Péko dans l’extrême ouest de la Côte d’Ivoire, Amadé Ouérémi et ses hommes ont été identifiés par de nombreux témoins comme figurant parmi les principaux auteurs du massacre survenu à Duékoué le 29 mars dans le quartier Carrefour. Des témoins et des habitants de ce quartier ont indiqué à Human Rights Watch et à Fraternité-Matin, le quotidien contrôlé par l’État, qu’Amadé Ouérémi avait combattu aux côtés des Forces républicaines à Duékoué ». (Human rights watch, rapport d’octobre 2011. « Ils les ont tués comme si de rien n’était ».) Les mercenaires burkinabés que Ben Laden a formés ont accompli la tâche immonde qu’il attendait d’eux.
Après ses basses œuvres à l’ouest du pays, Ousmane Coulibaly Ben Laden est nommé commandant de zone (comzone) des Forces nouvelles à Odiénné. Il met toute la région en coupe réglée et y installe des réseaux criminels mafieux qui se spécialisent dans les trafics illicites de diamant, d’or, de bois, de café, de cacao, etc. L’invasion d’Abidjan par les chefs de guerre de Ouattara avec l’appui décisif des forces françaises et onusiennes, offre l’occasion à Ben Laden de déchaîner sa folie meurtrière à Yopougon, entre autres. A ce sujet, Hrw écrit : « Ousmane Coulibaly a dirigé des soldats des Forces républicaines impliqués dans des actes de torture et des exécutions sommaires dans le secteur Koweit de Yopougon. Ces événements se sont déroulés sur plusieurs semaines, et aucune action ne semble avoir été prise par Ousmane Coulibaly pour prévenir les crimes. (…) Au moment de la rédaction de ce rapport, il était toujours officier de commandement des Forces républicaines. » (Human rights watch, rapport d’octobre 2011. « Ils les ont tués comme si de rien n’était ».)
Des rapports d’Amnesty international, du Comité international de la Croix rouge, de la Fédération internationale des droits de l’homme, etc., mettent également gravement en cause Tuho Fozié, Massamba Koné et Ousmane Coulibaly alias Ben Laden. Aujourd’hui, ces trois criminels de guerre élevés aux grades de commandants par Alassane Dramane Ouattara pour l’ensemble de leurs œuvres criminelles ne sont plus de simples officiers des Frci. Ils sont préfets de région et font désormais partie de la crème de l’administration de Ouattara. Ben Laden et Messamba Koné traînent une peu glorieuse réputation d’analphabètes. Ils sont au nombre de « ces chefs rebelles », dont l’un, « visiblement analphabète », a débarqué à une réunion « avec un scribe qui prenait des notes pour lui », selon un « gradé français ». (Libération, 30 mai 2012).
Leur cursus scolaire et leur formation ne confèrent donc pas les compétences indispensables aux missions de préfets de régions à ces chefs de guerre sanguinaires « passibles un jour de poursuites devant la Cour pénale internationale » (Libération, 30 mai 2012), dans une Côte d’Ivoire déchirée par une crise qu’ils ont grandement contribué à créer et à attiser pendant une décennie. Leur nomination par Ouattara ne peut avoir qu’un nom : népotisme tribal et prime à l’obscurantisme et aux crimes.
Une contribution Par Deuxer Céi Angela. L’œil du juste

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 18:13
L'INFORMATION DONNÉE PAR RFI A ÉTÉ DÉMENTIE PAR UNE PORTE PAROLE DE L'ONU DANS LE JOURNAL DE 12H00 (06/10/12) DE LA RADIO BBC - AFRIQUE

EN EFFET, L'ONU A INDIQUÉ QU'ELLE N'A PAS EU CONNAISSANCE D'UN TEL RAPPORT. ET QU'IL S'AGIT D'UN RAPPORT D'UN GROUPE D'EXPERT INDÉPENDANT QUI N'ENGAGE PAS L'ONU. 

RAPPELONS QUE LA RADIO DE PROPAGANDE FRANCE-AFRICAINE "Rfi" AVAIT ANNONCÉ DANS SON ÉDITION DU 06/10/12 QU'UN RAPPORT DE L'ONU METTAIT EN CAUSE LE FPI ET LES EXILÉS PROS-GBAGBO DU GHANA, DANS LA DÉSTABILISATION DU RÉGIME OUATTARA ET DE LA CEDEAO, AVEC LA COMPLICITÉ DES GROUPES REBELLES MALIENS ANSAR-DINE DU NORD ET CEUX DU CAPITAINE SAONOGO DU SUD DU MALI : 
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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 19:07


  • Le Président Laurent Gbagbo, le 05 décembre 2011 à la CPI, lors de l'ouverture de son procès.
    Le 25 septembre 2012 par L'INTER - Laurent Gbagbo va-t-il comparaître un jour devant la Cour pénale internationale (CPI) ? Rien n’est moins sûr.

    Une seule certitude cependant : le cas de l’ancien président ivoirien détenu à la prison de Scheveningen à La Haye, depuis la fin brutale de la crise post-électorale, est au centre de toutes les tractations. Les unes tendant à le maintenir dans les liens de la détention à la prison de la CPI; les autres voulant l’en sortir.

    Selon des informations à notre disposition, émanant de sources diplomatiques, les nouvelles en provenance de La Haye seraient bonnes pour le camp de l’ex-président ivoirien. C’est qu’un puissant lobby serait actuellement très actif pour obtenir la libération de Laurent Gbagbo.

    Vrai ou faux ? En tout cas, celle-ci devrait se faire après le paiement d'une caution. Par qui ? Mystère ! Mais à en croire nos sources, ce deal proposé à l’ancien président ivoirien, ne serait pas exnihilo. Il procéderait d’une stratégie bien ficelée par certaines personnalités politiques et chefs d’Etat, qui craignent les effets collatéraux du procès Gbagbo. Historien reconnu, opposant historique au régime du puissant feu Félix Houphouët-Boigny, puis ancien président de la République de Côte d’Ivoire pendant plus de dix ans, Laurent Gbagbo sait forcément des choses. Qui donnent forcément froid dans le dos de certaines personnalités politiques, tant au niveau national qu’international. Celles-ci craignent, selon nos sources, que l’ex-président ivoirien, qui semble détenir des dossiers compromettants, notamment sur des chefs d’Etat et des hautes personnalités du monde, ne fasse « le grand déballage » de nature à dévoiler le niveau d’implication de certains chefs d’Etat dans la chute de son régime le 11 avril 2011.
    « On ira jusqu’au bout »
    Et la célèbre phrase « Je suis ici, et on ira jusqu’au bout », lâchée dans le box de la CPI le 5 décembre 2011 pendant l’audience de présentation, a en effet sonné comme une sorte de disposition qu’il affichait à faire éclater la vérité sur ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire. Faut-il donc laisser Laurent Gbagbo vider son sac au cours d’un procès dont l’issue cache bien de surprises, ou faut-il le faire taire en lui accordant la libération conditionnelle ? Véritable casse-tête. Selon la source diplomatique qui livre la confidence, le prisonnier de Scheveningen se veut confiant. « Il a le moral et est gonflé à bloc en attendant le procès. Le président Laurent Gbagbo est serein quant à l'issue du procès », a-t-il dit, fondant ses convictions sur des échanges qu’il a eus récemment avec l’ancien président ivoirien au centre pénitentiaire de Scheveningen. « Laurent Gbagbo a pris la précaution, depuis les tristes événements de novembre 2004, d'enregistrer toutes ses conversations téléphoniques avec les personnalités européennes et américaines. Ainsi, il est en possession d'enregistrements sonores, de conversations compromettantes des personnalités (…) Ces bandes sonores mettent en cause leur implication de façon irréfutable dans le complot qui serait à la base de la crise ayant fait des milliers de morts. Ensuite, sa défense détient tous les éléments filmés sur la participation effective de l'armée française dans le bombardement de sa résidence de Cocody, sur son arrestation et sa remise aux ex-rebelles. Pour faire donc taire le Président Laurent Gbagbo, ce prisonnier devenu trop incommodant, un compromis juridique lui aurait été proposé. Cet arrangement juridique consisterait à la mise sous liberté, contre le paiement d'une caution qui reste à déterminer, pour contenter toutes les parties et sauvegarder l'image des personnalités directement impliquées dans la chute de Laurent Gbagbo et la déstabilisation de la Côte d’Ivoire », a précisé le diplomate.
    De plus, le deal prendrait également en compte le pays d’accueil de l’ex-président, s’il est remis en liberté. L’Ouganda qui, selon nos sources, avait été proposé, n’agréerait plus Laurent Gbagbo, qui souhaiterait purement et simplement retourner dans son pays la Côte d’Ivoire, d’où il a été transféré à La Haye. Les pourparlers seraient donc en cours. Mais du côté des avocats de la défense, on est plutôt étonné de l’existence d’un tel deal. « Je n’ai pas vu le document, je n’ai pas non plus connaissance d’un tel deal. Je sais seulement qu’il est prévu l’audience sur la santé du président. Et même s’il devait exister un tel deal pour aboutir à la libération du président Gbagbo, il faudrait lui trouver un habillage juridique », a indiqué un membre du collège d’avocats commis à la défense de Laurent Gbagbo.
    En attendant, il devrait y avoir un procès à huis clos hier lundi 24 septembre ou aujourd’hui 25 septembre 2012, relatif à la santé de l’ancien N°1 Ivoirien. Cette audience privée est censée déterminer si oui ou non Laurent Gbagbo présente les aptitudes physiques et mentales pour tenir le procès de confirmation des charges ou non, qui est prévue contre lui dans le cadre de la crise post-électorale, en tant que co-auteur indirect des crimes commis pendant cette crise.

    Hamadou ZIAO
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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 15:59

 

 

 

Pour Miaka Oureto, le président par intérim du Fpi, son parti a le devoir d’inculquer la notion de démocratie au peuple. En fait le Fpi doit être au premier rang du combat pour les libertés. «Le Fpi est une grosse machine qui ne recule devant rien. Nous vivons un drame actuellement en Côte d’Ivoire, parce que le régime en place ignore tout, de la communauté qu’il est censé diriger», regrette-t-il. Convaincu que les Ivoiriens ont déjà conquis leur liberté, Miaka se veut très optimiste quant à l’issue du combat que mène son parti. «Nous allons gagner, parce que le chemin est tout droit sans embûches. Nous sommes dans une dynamique, et il ne faut pas s’arrêter. Dieu lui-même nous débarrassera de tous les obstacles», a prédit Miaka. 3 sous-thèmes ont été décortiqués à cette célébration de la Fête de la liberté. Le premier en rapport avec les Libertés citoyennes, a été disséqué par le Pr Gnagne. Pour lui, la liberté citoyenne se résume au pouvoir de délibérer sur un point donné, et à émettre un avis consultatif et non contraignant. Le Fpi devra alors faire le bilan de la démocratique en Côte d’Ivoire. «Seul un Etat démocratique peut assurer aux citoyens, la liberté dont ils ont besoin pour leur épanouissement», a tranché ce cadre du Fpi. Le second thème développé par Mme Amon Amon Agoh Marthe, a trait à la démocratie. Elle soutient que la démocratie se résume à la notion d'être tour à tour, gouverné et gouvernant. Seul le peuple a le pouvoir de juger les actions des politiques mises en œuvre, explique Agoh Marthe. Ce peuple a également le pouvoir d'évincer des dirigeants qui se démarquent de la volonté populaire. La secrétaire générale du Cnrd, est meurtrie par ce qui se passe dans son pays. Parce qu’elle constate que depuis le 11 avril 2011, il n’y a plus de liberté ni de démocratie en Côte d’Ivoire. «Depuis le 11 avril 2011, on ne peut plus parler de démocratie, car ce sont les chars, les hélicoptères et les kalachnikov qui ont installé ce régime. Nous sommes dès lors, dans un Etat sus generis, c’est-à-dire sans nom, sans identité. Le droit du peuple ivoirien de se choisir un dirigeant, lui a été dénié par l’Onu et la France», a-t-elle dénoncé. Le dernier exposant, M. Seri Gouagnon s’est appesanti sur l’état actuel des libertés citoyennes et de la démocratie en Côte d’Ivoire. Au contraire du régime Gbagbo, qui a consacré la manifestation des libertés et de la démocratie par le respect de la constitution, le pouvoir de Dramane Ouattara, assassine les libertés et la démocratie en Côte d’Ivoire, analyse le conférencier. Depuis novembre 2010 jusqu’à avril 2011, Gouagnon souligne que le peuple a été exclu du choix de ses dirigeants. Dans ce contexte, «les nouvelles autorités sont loin d’être crédibles, car dotées de pouvoir anticonstitutionnel», juge-t-il. Les faits le démontrent par les exactions et les crimes des Dozos et des Frci, une Assemblée nationale taillée sur mesure pour le Rdr, la violation des droits de manifester, de s’exprimer, de rassembler, l’incarcération illégale des citoyens, l’emprisonnement des dirigeants politiques et des proches de Gbagbo, les mandats d’arrêts lancés contre les leaders politiques en exil, la gestion de la chose publique par le tribu pour la forme dite de rattrapage ethnique, la suppression du programme de communalisation etc. Bref, Seri Gouagnon estime que les Ivoiriens ne vivent pas dans un pays démocratique. Parce que «la répression est le moyen de gestion du pouvoir actuel. Et pourtant, le pouvoir qui s’acquiert dans la violence, ne peut diriger avec quiétude. D’où ses maladresses, sa frilosité, ses balbutiements. Mais gardons la foi, car la démocratie renaîtra en Côte d’Ivoire pour la gloire de l’humanité», a-t-il observé. Les organisateurs ont prévu poursuivre ces débats dans le cadre de l’université politique qui est annoncée bientôt.

Fabrice Tété

 



 

 

Activités
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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 13:41

Le très dictateur OUATTARA a demandé à sa milice F.R.C.I de tout mettre en œuvre
 pour casser la jeunesse patrirassemblement patriotique-copie-1otique restée fidèle au président LAURENT GBAGBO et dont certains n'ont pas choisi le chemin de l'exil car n'étant pas tous politiquement indexé par le régime tyranique du descendant de SINDOU.

En effet prétextant de la mort de huit éléments de la milice F.R.C.I du sieur OUATTARA,parmis lesquels se trouveraient de chefs de secteur,les miliciens à la solde de OUATTARA ont entamé des arrestations au sein des jeunes réputés proche du président GBAGBO.C'est pourquoi ,il nous a été donné de voir sur la désormais propagandiste R.T.I.1  18 jeunes présentés comme des miliciens arrêtés dans la forêt du BANCO.Cette enième vague d'arrestations s'avère être un schéma bien élaboré par les sécurocrates du putschiste de SINDOU ,c'est en effet la traque de jeunes volontaires qui s'étaient inscrits avant le début de l'agression française pour la défense de la mère patrie contre l'éventualité de la venue de l'E.C.O.M.O.G en CÔTE D'IVOIRE,c'est ainsi une liste de 50000 milles jeunes avait été dressée et déposé à l'état major des armées au camp galliéni du PLATEAU,malheureusement la chute éclaire du régime du président GBAGBO par l'armée française ,cette liste se trouve être aux mains du sinistre CHERIF OUSMANE commandant adjoint de la sécurité du dictateur d'ABIDJAN.

Quand nous savons qui est CHERIF,celui qui a pris plaisir à assister à l'immolation des gendarmes à BOUAKE .Il est fort à parier que la vie de ces jeunes hommes qui figurent sur cette liste est en danger car les méthodes hitlériennes du pouvoir de OUATTARA  ne sont plus à démontrer,une illustration vous ait donné avec l'arrestation de 18 jeunes pris dans leurs quartiers  respectifs et présentés comme miliciens,après que des miliciens F.R.C.I se soient faits des règlements de compte à la SIDECI à YOPOUGON car ne s'étant pas entendus sur le partage du butin des rackets opéré  contre les transporteurs et les commerçants de la cité de YOPOUGON.

C'est le lieu d'attirer l'attention des organisations dite de défenses des droits de l'homme à être plus régardant sur le développement de cette actualité car il sera illusoire et inutile de venir faire des décomptes macabres.

Ce régime aux abois et prenant l'eau de toute part comme un bateau en perdition est devenu dangereux et nocif,c'est pourquoi nous écrivons cet article pour que la vie de ses jeunes qui se sont inscrits résolument dans la dynamique de réconciliation nationale  ne soit mise en danger.


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